Saturday, January 21, 2006

tournant

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LES « PROJETS NOIRS » DERRIERE
LES TRAINEES CHIMIQUES DANS LE CIEL
ET LES ANTENNES DE TYPE HAARP ET CONSORTS

Note préalable sur l’historique du présent dossier
La première version de ce dossier a été rédigée et distribuée en janvier 2004 dans le cadre du sous-groupe d’étude « symptomatologie » au sein du groupe ATOS consacré à la triarticulation sociale. Il avait pour but de faire le lien entre des phénomènes extérieurs étranges, à savoir les traînées dans le ciel laissées par des épandages aériens intensifs et récurrents, et les « projets noirs » menés par le gouvernement occulte de la planète, que l’on peut désigner sous le terme de « Nouvel Ordre Mondial Anti-Christique ».
Pour élargir le nombre de personnes susceptibles de conduire des actions contre ces projets néfastes, le dossier était aussi pensé pour un public non anthroposophe (principalement celui de la société civile) ; il replaçait les projets noirs dans le cadre plus général du problème du Mal tel que le présente la science de l’esprit de Rudolf Steiner, afin que les gens dépassent le cap initial et naturel de la peur et du découragement et comprennent le rôle des Forces du Mal dans le plan divin, qui à notre époque consiste à pousser l’humanité (surtout occidentale) à reprendre conscience de l’existence d’un monde spirituel après la phase de matérialisme qu’elle a dû traverser pour développer son intellect au contact du monde physique. Cette action du Mal a été singulièrement rude au 20ème siècle et menace d’empirer si l’humanité traîne les pieds sur le chemin du spirituel (l’échéance de 2012 est souvent mentionnée comme une date critique dans les écrits qui s’intéressent à ce sujet).
La présente et seconde version du dossier intègre des mises à jour dues aux recherches sur Internet (alors que la première version s’appuyait principalement sur des livres et revues) et aux évolutions du problème et de ses solutions survenues au cours de 2004 et 2005. Pour ces ajouts nous sommes redevables à un ensemble d’internautes dont certains (et plus souvent certaines) disposent de facultés psychiques et perçoivent les aspects éthériques ou astraux des phé-nomènes en jeu dans les projets noirs ; ils peuvent même agir dans les mondes suprasensibles en menant consciemment une « lutte éthérico-astrale » contre les entités adverses. D’autres informations Internet intéressantes sur la situation mondiale sont fournies à partir du monde suprasensible par un fils défunt (Matthew Ward, www.matthewbooks.com) dialoguant via un ordinateur avec sa mère encore vivante (c’est un peu la version moderne des « Lettres de Pierre » pu-bliées il y a quelques décennies en France pour établir un pont entre les vivants et les morts, autre problème important de notre époque).
Pour des raisons de taille du document, cette version est découpée en plusieurs articles qui paraîtront dans des nu-méros successifs de Tournant.

Première partie : présentation des « projets noirs »

Cette première partie est née sous la forme d’un compte rendu de lecture, assorti de commentaires personnels, du li-vre du Canadien François Pierre (alias Nenki) :
« Chemtrails. Les tracés de la mort », par Nenki,
Editrice Louise Courteau, Québec, 1er trimestre 2003, 147 pages, 17 euros.
Ce livre cherche à attirer l’attention de la population francophone sur les « projets noirs » qui se trament derrière :
• les épandages récurrents de produits chimiques et bactériologiques par des avions militaires et civils,
• les systèmes HAARP et consorts, qui émettent de puissantes ondes électromagnétiques dans l’ionosphère, l’atmosphère et le sol.

1 - Exercices préliminaires
Si vous êtes lassés d'observer les agriculteurs conventionnels ou "raisonnés" épandre des produits chimiques morti-fères depuis des décennies sur 98,5 % de la surface agricole française, si vous en avez assez de ramasser sur les côtes françaises les boulettes de fioul résultant du dégazage ou de la mort lente des pétroliers poubelles, si vous vous épuisez à lutter contre les incinérateurs diffuseurs de dioxine ou les enfouisseurs de déchets radioactifs, alors variez votre déplai-sir en contemplant les nombreuses traînées persistantes que pulvérisent les avions militaires et civils dans notre beau ciel de France (elles ont été particulièrement visibles durant l'été 2003 en Basse-Normandie).
Adonnez-vous à une observation goethéenne des transformations de ces traînées au fil du temps. Vous distinguerez aisément :
• les "traînées de condensation" ("contrails" en anglais, raccourci de "condensation trails"), qui se produisent à partir de 10 000 m d'altitude et s'estompent le plus souvent en moins de 2 minutes (la vapeur d'eau émise par l'avion gèle puis fond au soleil),
• les "traînées chimico-bactériologiques" ("chemtrails" en anglais, raccourci de "chemical trails"), qui, elles, peuvent se produire à beaucoup plus basse altitude, sont rémanentes des heures durant, s'effilochent lentement en prenant des formes parfois assez déplaisantes et finissent par couvrir tout le ciel d'un voile filandreux dont la chute douce vers le sol est favorisée par la pluie. On ressent à l’œil nu que ces faux nuages ont une consistance artificielle désagréable.
Les photos suivantes, tirées du site « evolutionquebec.com », montrent trois étapes de la progression du phénomène (cas élémentaire de 2 traînées et cas plus général d’un ciel crayonné) :


Certains avions vont même jusqu'à vous aider à bien faire la différence entre les deux types de traînée : ils émettent d'abord pendant un certain temps une traînée de condensation qui disparaît rapidement, puis une traînée chimique réma-nente lorsqu'ils vident leurs bonbonnes sur la zone ciblée, puis de nouveau une traînée de condensation évanescente, toute cette séquence se déroulant à la même altitude.
On peut trouver inversement un « temps mort » dans l’émission des traînées permanentes, qui correspond au passage d’une bonbonne vide à une nouvelle bonbonne pleine.
On remarquera aussi parfois la structure en boudins parallèles ou bien moutonnée de ces nuages chimiques lorsque ceux-ci sont soumis à des faisceaux d’ondes électromagnétiques.

On pourra constater que certains jours les avions n'ont que des traînées de condensation, alors que d'autres jours ils sont nombreux à laisser des traînées chimiques, et ceci dans des conditions atmosphériques identiques, comme ce fut le cas dans certaines régions françaises pendant la période de beau temps et de sécheresse d'août à octobre 2003. Des es-sais de corrélation avec le type de jour (racine, feuille, fleur, fruit) n’ont pas été concluants.
On en déduit qu'il s'agit bien de campagnes d'épandage délibérées, qui sont déclenchées à des dates fixées dont on ne connaît pas très bien les critères de choix (certaines belles journées de commémoration mondiale, comme celle du dé-barquement du 6 juin, semblent épargnées, car il y a sans doute trop de gens qui prennent des photos à cette occasion). Spatialement, les épandages se déroulent un peu partout mais peut-être plus particulièrement sur les agglomérations humaines, ne respectant pas les éventuelles interdictions de survol des villes.

Ces exercices d'observation terminés, armez-vous d'un certain courage si vous n'êtes pas familiarisés avec le thème de la dictature du Nouvel Ordre Mondial, et lancez-vous dans la lecture du livre de Nenki intitulé "Chemtrails. Les tracés de la mort". Vous y apprendrez de quels funestes projets ces traînées sont une composante. Heureusement, si l'on peut dire, elles sont bien visibles par temps clair et photographiables ou filmables, ce qui nous laisse une chance de contrer ces attaques contre l'humanité, à condition, comme le dit l'auteur, que nous émergions de notre apathie.

2 - Techniques d'épandage
Aux Etats-Unis et au Canada, l'épandage des aérosols se fait depuis au moins 1997 (date de la montée en régime) à partir d'avions citernes de l'armée et également, afin de donner à l'opération une plus grande ampleur en surface et en durée, à partir d'avions civils qui, selon deux témoignages complémentaires trouvés sur Internet, auraient été secrète-ment modifiés pour y inclure, dans la partie de la carlingue réservée aux eaux usées, un système de commande, des tuyaux, des pompes et des bonbonnes pour produits chimico-bactériologiques. Certaines des petites tiges de décharge statique placées sur le bord arrière des ailes auraient été percées à leur extrémité pour faire office de buses de pulvérisa-teur. Le système de commande déclencherait l'épandage de façon automatique, à l'insu du pilote, en fonction du plan de vol de l'avion. L'équipe de sous-traitants chargée de la vidange des eaux usées en profiterait pour recharger les bonbon-nes et paramétrer le système de commande avant chaque vol. Les lignes aériennes seraient rémunérées pour ces épanda-ges par les officines des "projets noirs" du gouvernement (quelques noms de code de ces opérations : "Feuille de trèfle", "Ciel rouge", "Danse de la pluie") ; seuls quelques employés seraient au courant et tenus au secret sous peine d'empri-sonnement.
Certains produits peuvent aussi être mélangés au kérosène et sortir alors normalement par les tuyères des réacteurs.
Sur la première photo ci-dessous, on remarquera un épandage à partir du bout des ailes, en plus de ce qui sort des tuyères. Sur la deuxième photo, rien de visible ne sort des tuyères, mais l’épandage se fait à partir d’un orifice sous cha-que aile. La troisième photo montre un équipement rajouté sur le fuselage d’un avion à hélices et qui n’est sans doute pas destiné à jouer de la trompette.


3 - Composition des produits pulvérisés
Aux Etats-Unis, les gens qui se sont insurgés contre ces épandages d’aérosols se sont heurtés à un mur de silence ou de dérision de la part des instances gouvernementales, des grands médias asservis et même de l'Agence de Protection de l'Environnement (EPA). Ils ont dû eux-mêmes recueillir des échantillons, soit solides (dans le cas des glus collées sur les maisons suite à des épandages massifs à très basse altitude), soit extraits de filtres HEPA exposés à l'air pendant plu-sieurs jours (dans le cas des traînées plus diffuses). Ils ont dû également écarter comme non fiable tout laboratoire d'ana-lyse ayant des contrats avec l'armée (la dictature étend ses tentacules comme une pieuvre). La liste des produits ren-contrés au fil des analyses comprend :
• le "dibrométhane": interdit depuis 1984, additif du carburant des avions (JP8), insecticide cancérigène, pouvant causer des oedèmes pulmonaires ;
• la bactérie "Pseudomonas aeruginosa", qui peut être à l'état naturel dans le sol, mais est aussi fabriquée par une compagnie au doux nom de "Patho-genesis"; sur les personnes vulnérables, cette bactérie forme un bio-film qui bloque le système immunitaire ;
• la bactérie "Pseudomonas fluorescens", qui se trouve aussi dans le sol ;
• des "entérobactériacées" : Escherichia coli et salmonelles pour les intoxications alimentaires, Klebsiella pour les infections pulmonaires ;
• la bactérie pathogène "Serratia marcescens", responsable de pneumonies, méningites, endocardites ;
• des streptomycines, composants des antibiotiques ;
• des enzymes restrictives, utilisées en laboratoire pour couper et recombiner l'ADN ;
• des cellules de sang humaines : globules rouges, globules blancs pris dans des agrégats ;
• d'autres bacilles, bactéries et moisissures pouvant provoquer des maladies cardiaques, des difficultés respiratoi-res et des maladies gastro-intestinales aiguës ;
• du BCTP huileux, antibiotique, décontaminant (sans doute testé après l'épandage d'une bactérie bénigne) ;
• des stéarates et sulfates de baryum, toxiques pour les mammifères ;
• différentes formes d'aluminium, neurotoxiques à l'origine de démences dégénératives (Alzheimer) ;
• des fibres de polymères, dont certains sont analogues aux additifs polymères utilisés en charcuterie pour uni-formiser la cuisson au four à micro-ondes.

4 - Syndromes biologiques
Un certain nombre d'atteintes à la santé ont pu être mises en relation avec l'épandage des traînées chimico-bactériologiques. Elles affectent naturellement de façon privilégiée les personnes dont le système immunitaire est le moins résistant, à savoir les jeunes enfants et les personnes âgées. Citons quelques-unes des affections identifiées : saignement de nez et de poumon, asthme et allergies, aspergillose broncho-pulmonaire allergique, grippe, bronchite, bronchiolite des nouveau-nés, pneumonie, syndrome de détresse pulmonaire, mort subite du nourrisson ou d'athlètes, décès dus au fongus noir (moisi noir ou rouge sur les récoltes vivrières), gastro-entérite, fatigue extrême ou chronique, acouphène, vertige, vision embrouillée, mental au ralenti, désordres immunitaires, etc.

5 - Les "projets noirs" de l'armée et des services secrets états-uniens (et autres)
La conspiration du silence officielle qui entoure les épandages d’aérosols ne peut que nourrir le soupçon qu'ils ca-chent des projets inavouables, dont on trouve sur Internet des descriptions assez angoissantes. Elles ne sont pourtant pas si invraisemblables que cela, si on les juge à l'aune des multiples méthodes de chaotisation du monde employées actuellement par ceux qui dirigent secrètement la mise en place du Nouvel Ordre Mondial, et que l'on nomme d'un terme générique : "Les Illuminati". Il est conseillé de relire les livres prémonitoires "Le meilleur des mondes" d'Aldous Huxley et "1984" de George Orwell pour se remémorer leur programme, et de consulter aussi des ouvrages plus récents qui décrivent son actualisation.

Il faut savoir que les épandages chimico-bactériologiques peuvent être utilisés de façon autonome, mais qu'ils sont le plus souvent réalisés en conjonction avec l'émission d'ondes électromagnétiques à partir de trois types de source :
• les émetteurs américains HAARP en Alaska, en Australie et ailleurs dans le monde, et leurs homologues rus-ses "Pic-vert" au nord de Moscou et en Sibérie, qui envoient vers l'ionosphère diverses ondes de très hautes et/ou très basses fréquences et de très grande puissance (une centrale nucléaire est dédiée à cela en Alaska !),
• les tours GWEN (Réseau d'urgence par ondes terrestres, en cas d'explosion nucléaire), de 100 à 170 m de hau-teur, espacées de 320 km, qui émettent dans la basse atmosphère et à travers le sol différents types d'onde, dont certaines de haute fréquence qui peuvent être :
o soit continues et porteuses d'une modulation de basse fréquence (modulation en amplitude, ou en fré-quence, ou en phase),
o soit discontinues sous forme d'impulsions de durée limitée (on parle d'ondes "pulsées"), avec une fai-ble "fréquence de récurrence" (nombre d'impulsions par seconde) ;
• les tours d’antennes « émettrices ou relais », militaires ou « civiles », qui ont fleuri partout dans le monde à par-tir de 2001, soi disant à l’occasion de la montée en flèche du nombre de téléphones portables, mais avec des fi-nalités connexes cachées ; elles utilisent de nocives micro-ondes pulsées, analogues à celles des radars dont le danger pour l’homme est identifié depuis des décennies.
Voici quelques exemples de tours assez impressionnantes. La première photo montre un champ d’antennes de l’installation HAARP de Gakona en Alaska. La photo suivante a été prise à proximité de la résidence d’été du pape (Monte Cavo près de Rome), la troisième sur la côte orientale de l’Espagne.

Des tours d’antennes plus modestes se trouvent en abondance le long des grandes routes, près des centres commer-ciaux, des terrains de sport. Les châteaux d’eau eux-mêmes sont réquisitionnés et se trouvent hérissés d’antennes, ce qui permet incidemment de passer l’eau potable aux micro-ondes.

D’autres antennes sont placées sur les toits des villes ou sont accolées à des bâtiments ou des poteaux de feux de signalisation. Certaines sont maintenant camouflées sous forme d’arbres artificiels ou à l’intérieur de poteaux d’enseignes ou d’éclairage public.

Ce sont donc ces quatre composantes : traînées chimico-bactériologiques, émetteurs HAARP, tours GWEN et sup-ports d’antennes émettrices/relais, qui constituent la boîte à outils polyvalente à la disposition de "projets noirs" vrai-ment démoniaques. En tant que spectateurs moyens, nous pouvons certes détecter les traînées dans le ciel, à condition de lever le nez de temps en temps, mais nous ne sommes pas du tout conscients de l'arrosage électromagnétique asso-cié, qui peut être simultané ou différé.

6 - Premier "projet noir" : la manipulation du temps météorologique.
La manipulation du temps fait l'objet de documents écrits tout à fait officiels de l'administration états-unienne, et avait été annoncée sans aucune ambiguïté par le va-t-en guerre polono-états-unien Brzezinski (dont le nom même donne déjà des frissons). Le programme de l'Armée "Weather as a Force Multiplier : Owning the Weather in 2025" (Le climat, dé-multiplicateur de puissance : dominer le climat en 2025) est déjà bien avancé, l'échéance éloignée de 2025 étant sans doute de la désinformation destinée à masquer l'état opérationnel d'au moins une partie du projet. Celui-ci ne vise évi-demment pas des buts humanitaires, mais une guerre météorologique de l'ombre, permettant de ruiner toute l'écono-mie d'un pays adverse, en provoquant des périodes prolongées de sécheresse ou de pluies diluviennes ou de chutes de neige ou de verglas (pouvant faire tomber toutes les lignes électriques).
L'acronyme poético-musical du programme HAARP (High-frequency Active Auroral Research Project) ne se réfère à l'étude des aurores boréales que pour présenter une "couverture" scientifique plutôt sympathique, qui cache en réalité son intégration dans le plan plus général de la "Guerre des Etoiles", chère à George Bush et à ses tristes acolytes. Ses installations d'antennes émettrices très puissantes ont entre autres pour fonction, en liaison avec les traînées chimiques, d'envoyer des ondes se réfléchir sur l'ionosphère en la réchauffant ponctuellement, de créer des ondes stationnaires à l'échelle du globe et de modifier ainsi le parcours des grands courants atmosphériques de vapeur d'eau (les "rivières du ciel" telles que le Jet Stream), de façon à créer à volonté des zones de sécheresse et des zones d'inondation.
La guerre météorologique secrète, commencée par les Etats-Unis et l'URSS dès la fin des années 1940, a "théorique-ment" été interrompue en mai 1977 (juste après la grande sécheresse de 1976 en France !) par une Convention des Na-tions Unies sur l'interdiction des modifications environnementales à usage militaire ou hostile (ENMOD). Ce n'est certes pas ce genre de traité qui va dissuader les factions secrètes des armées de continuer leurs expériences (il leur suffit de se retrancher derrière leur sinistre étendard de la "Sécurité Nationale"), mais en outre la convention ENMOD ne concerne pas les manipulations climatiques "civiles" ! On peut ainsi rejouer le même scénario hypocrite que celui du nucléaire "civil", qui permet tranquillement de fournir le combustible atomique nécessaire au nucléaire "militaire".
Dans les conflits déclarés et circonscrits tels que ceux du Kosovo et de l'Afghanistan, les Etats-Unis ont ouvertement mis en œuvre leurs techniques de manipulation du climat.
De façon plus générale, les catastrophes climatiques que nous avons subies à travers le monde ces dernières an-nées, comme la grande sécheresse puis les inondations de 2003 en France, ou les nombreux cyclones aux caractéristiques inhabituelles qui ont frappé l’Amérique centrale en 2005, ne reflètent plus les cycles habituels d'anomalies atmosphéri-ques. Elles sont donc dues à des interventions humaines délibérées et sournoises sur le climat, qui malheureusement jouissent de l'entière complicité de nos gouvernants et d'un manque total de curiosité de la part des médias et des agen-ces officielles de météorologie. Avez-vous entendu, dans les bulletins météo de votre radio ou de votre chaîne de télévi-sion préférée, la moindre allusion à la responsabilité éventuelle de HAARP dans la survenue des catastrophes climati-ques récentes ? Vos chroniqueurs-anesthésistes habituels vous ont-ils rapporté les débats du Parlement européen conduits par la députée belge Magda Hoalvoet du Groupe des Verts sur les inquiétudes de l'Europe vis-à-vis de HAARP ? Si la réponse est : non, c'est que la manipulation des esprits va de pair avec la manipulation du temps.
Question manipulation, il se pourrait bien que l'"effet de serre" dont on nous rebat les oreilles ne soit pas dû seule-ment à la pollution chimique de nos industries et de nos voitures, mais aussi à l'effet calorifique de l'intense pollution électromagnétique engendrée par notre civilisation, renforcé depuis quelques années par les produits des traînées chimi-ques qui sont chauffés par les émissions venant de l'ionosphère aiguillonnée par HAARP. De leur côté, certains voyants indiquent que c’est le soleil lui-même qui a augmenté son rayonnement depuis une décennie, conduisant à la fonte des glaces des pôles en préparation de diverses modifications de la surface de la terre.

7. - Deuxième "projet noir" : la réduction de la population du globe.
Comme cela transparaissait sans complexes dès les années 1970 dans des documents secrets (mais déclassés depuis) préparés par leur marionnette Henry Kissinger, les "Illuminati" sont partisans de l'eugénisme, et ils cherchent égale-ment à limiter le nombre des opposants lors de la phase finale de l'instauration de leur dictature mondiale. Les mé-thodes généralisées de contrôle des naissances y compris la stérilisation, les campagnes vaccinales systématiques pa-tronnées à l'échelle planétaire par l'OMS pour épuiser le système immunitaire en formation des nouveau-nés ou celui déjà affaibli des habitants victimes de malnutrition, les guerres et conflits provoqués partout dans le monde, si possible avec usage d'armes chimiques, biologiques ou à l'uranium appauvri et destruction des infrastructures civiles (comme en You-goslavie et en Irak), la misère et la famine répandues sans vergogne par les "programmes d'ajustement structurel" du trio maléfique OMC/FMI/BM, constituent quelques-uns des outils utilisés pour réduire la population humaine.
Afin d'accélérer le processus pour atteindre l'objectif du passage de 6 milliards à 2 milliards d'humains ou même moins, une stratégie perfide aurait été mise en place. Plagiant la politique commerciale du Beaujolais nouveau, elle consiste à pulvériser chaque année une souche différente de virus de la grippe et à habituer les gens à se faire vacci-ner (c'est gratuit pour les personnes âgées !). Certains auront déjà trouvé étrange que les instances sanitaires publiques soient capables d'identifier plusieurs mois à l'avance quelle épidémie de grippe se prépare et de quel lointain pays elle vient, et qu'elles disposent des vaccins justement adaptés à la souche de virus attendue ! A moins bien sûr qu'elles soient au courant et complices des campagnes d'épandage des aérosols de virus et d'agents chimiques associés, qui aident l'enveloppe virale à fusionner avec les cellules des poumons. Au début les vaccins contiennent des virus morts et sont efficaces, ce qui met en confiance et favorise le réflexe vaccinatoire annuel chez les gens. Ensuite ces vaccins contiendront une proportion de virus vivants, les gens tomberont malades lentement (le temps de propager le virus par contagion), jusqu'à finalement en mourir. Le fait que l'on meure de la grippe créera une panique et poussera les gens à se faire vacciner en masse, ce qui accentuera l'hécatombe chez les personnes dont les poumons auront été préparés par les épandages aériens. Nous sommes peut-être en train de vivre les premières étapes de ce plan diabolique. Et c'est donc d'une oreille un peu plus "éveillée" qu'il nous faudra dorénavant écouter à la radio les propagandes pour le vaccin anti-grippe de l'année diffusées par nos compatissants « Ministères de la Santé » (sic), surtout si l'épidémie se double de gastro-entérites et de bronchiolites, car c'est le cocktail des déclencheurs de ces trois maladies qui semble être couram-ment utilisé lors des pulvérisations d'automne ; on peut faire l'hypothèse que la grippe est surtout dirigée contre les per-sonnes âgées, la gastro-entérite contre les adultes et la bronchiolite contre les jeunes enfants, afin qu'il y en ait pour tout le monde !

7.a - L'exception française, version 2003 (commentaire du rédacteur)
En relation avec ce deuxième projet noir, ajoutons dans cette sous-section et les deux suivantes quelques commentai-res personnels qui concernent plus particulièrement notre cher pays. Pour le gouvernement mondial occulte, chaque nation se doit de contribuer à la réduction de sa propre population. Notre douce France a apporté sa quote-part durant l'été 2003 : une canicule entretenue par la guerre météorologique de l'ombre, avec des épandages chimiques aériens quasi permanents dans certaines régions, plus un retard manifestement appuyé des pouvoirs publics pour secourir les person-nes âgées et les malades, enfin le désintérêt désinvolte du hors-la-loi de l'Elysée en dépit d'un avis de recherche lancé au Canada, son lieu de vacances présumé ; résultat : 15 000 morts (on vous fait grâce du nombre d'invalidés qui ont eu le mauvais goût d'en réchapper temporairement). Nous avons sans doute fait mieux que les Américains qui, en août 2000, ont pulvérisé des aérosols en telle quantité sur Los Angeles que le ciel a gardé une couleur rouge sang pendant deux jours (opération "Ciel rouge" ?), que les morgues ont tourné à plein rendement pendant une semaine et que des centai-nes de milliers de personnes se ressentent encore aujourd'hui de ces épandages.
Pour ceux qui douteraient de l'inspiration diabolique de telles opérations, qu'ils méditent sur la cynique proposition faite ensuite par notre Grand Communiquant du Poitou pour tenter de se faire pardonner : instituer, "pour nos vieux" (Aux larmes, citoyens !), une journée travaillée précisément le Lundi de Pentecôte. La tentative de désacralisation de cette fête chrétienne, qui symbolise la descente de l'Esprit Saint, de l'Amour Cosmique dans les consciences humaines suite à l'impulsion du Christ du Mystère de Pâques, est une attaque anti-christique frontale contre l'évolution spirituelle de l'homme (voir à ce sujet l'importance que Rudolf Steiner attribue à cette fête, par exemple dans le cycle de conférences sur "Le cinquième évangile"). Si des syndicats et des partis politiques se sont opposés à la proposition du gouverne-ment, pour des raisons non spirituelles, on peut s'interroger sur le fait que les instances ecclésiastiques n'aient pas mani-festé beaucoup d'indignation ; la Fille aînée de l'Eglise n'est plus ce qu'elle était. Pourtant l'atteinte portée à la fête de la Pentecôte n'est que la suite de la tentative anti-christique plus ancienne visant à imposer une date fixe à la fête mobile de Pâques.
Ainsi, ce n'est pas seulement dans le domaine des plantes que l'on peut s'entraîner à appliquer la "théorie des signa-tures"; Rudolf Steiner nous a d'ailleurs expressément invités à considérer les événements du monde comme les symp-tômes de l'action d'entités spirituelles suprasensibles, que ce soit pour le bien ou pour le mal. Vu que les forces du mal avancent souvent masquées sous la couverture d'un "bien" apparent, et que l'inverse peut être également vrai, comme le suggèrent le proverbe "Qui aime bien châtie bien" ou encore le déclenchement de maladies par les bonnes puissances pour nous extraire des griffes des mauvaises puissances, il convient d'avoir une double lecture, positive et négative, des mêmes événements pour affiner notre discernement.
En complément de cette symptomatologie politique et spirituelle, il y a des signes avant-coureurs encourageants de la volonté de certains écrivains et historiens non conventionnels de tordre le cou à la "fable convenue" qu'est en parti-culier l'histoire des 19ème et 20ème siècles savamment distillée dans nos manuels scolaires par les historiens de cour du Nouvel Ordre Mondial. On a déjà commencé à déboulonner quelques statues de "grands hommes" dont la légende a été fabriquée de toutes pièces et religieusement entretenue (par exemple Louis Pasteur ou Jean Monnet), et qui n'ont été souvent que des pions du gouvernement mondial occulte, sortes d'"idoles" chargées de canaliser la vénération des fou-les tout en la dévoyant ; inversement on a entrepris de faire connaître ou de réhabiliter des personnes plus bénéfiques à l'humanité, qui avaient été maintenues délibérément dans l'ombre ou dans l'oubli.

7.b - Le problème de la transfusion sanguine (commentaire du rédacteur)
Dans le domaine de l'attaque contre la santé humaine qui nous intéresse ici, nous prendrons l'exemple de René Quinton, qui a eu une renommée mondiale dans les 25 premières années du 20ème siècle, puis a étrangement disparu de notre souvenir national grâce aux "bons" offices de la nomenklatura française (voir le livre de Pierre Lance "Savants maudits, chercheurs exclus" cité dans la bibliographie). En plus de ses hypothèses novatrices sur la séquence d'appari-tion des espèces animales dans l'évolution en fonction de leur température interne et de sa contribution enthousiaste au lancement de l'aéronautique française, René Quinton avait eu le mérite de proposer des moyens thérapeutiques peu coû-teux à base de "transfusion d'eau de mer isotonique", c'est-à-dire ramenée à la concentration de sel du sang humain par mélange avec de l'eau de source. Ce "plasma de Quinton", qui ne cherche pas à tuer lui-même les "microbes" mais pro-cure à l'organisme les forces nécessaires pour combattre les infections, avait fait merveille contre diverses épidémies et pour les soins aux blessés lors de la grande boucherie de 1914-18 organisée par les Illuminati.
Les historiens devront un jour lever le voile sur les raisons occultes de l'abandon de ce remède simple mais efficace (Platon disait déjà : "l'eau de mer guérit tous les maux") au profit de procédures beaucoup plus complexes, coûteuses et risquées de collecte, de conservation et de transfusion du sang. Ils seront sans doute sur une bonne piste s'ils se rappel-lent, dans Faust, la fascination de Méphistophélès pour le sang de l'homme, expression et support de son Moi. D'un point de vue spirituel, le principe de la transfusion du sang est une atteinte à l'identité humaine du receveur et va à l'en-contre de l'individualisation du Moi qui est la marque de notre phase actuelle d'évolution. Les Témoins de Jéhovah met-tent d'ailleurs en avant cet argument pour justifier leur refus de la transfusion sanguine, d'autant plus que les cas ne sont pas rares où celle-ci entraîne une modification psychique du receveur. Dans la mesure où l'eau de mer isotonique est très efficace et neutre (car commune à toute l'humanité en tant que berceau de sa naissance au cours de l'évolution), on peut penser que la mise en place de cette lourde machinerie médicale de gestion du sang humain a surtout un but occulte de lutte contre le Christ, dispensateur du Moi humain, qui se manifeste dans le sang sur le plan physique.
Le scandale du sang contaminé et celui tout aussi odieux du jugement final de son interminable procès ne sont que les accidents qui permettent de révéler ou de confirmer les manipulations maléfiques dont le sang transfusé peut être l'objet, sans parler de la collusion mafieuse de plusieurs instances de l'Etat et du détournement possible du sang collecté à destination de rituels sataniques. Ce procès devra être réouvert un jour, mais cette fois avec l'accusation d'homicide volontaire, voire de crime contre l'humanité en temps de paix. On pourra aussi mettre au banc des accusés les experts bidon ainsi que les juges "couchés" distributeurs de non-lieu dans tous les scandales du même type. La magistrature "couchée" est une variante maligne qui peut affecter et infecter aussi bien la magistrature "debout" que la magistrature "assise"; c'est un mal d'une extrême gravité, car il détruit le dernier rempart légal contre l'injustice au sein de la société et fait naître chez les plaignants désabusés un sentiment de totale impuissance doublé d'une haine des autorités indignes de cette société.

7.c - Le problème des vaccins (commentaire du rédacteur)
La vaccination est aussi un procédé dont on peut dire qu'il est surtout un instrument efficace des forces du mal, et cela d'autant plus que, par une injection, on agit directement sur le sang humain en court-circuitant la barrière filtrante de la digestion. Plusieurs livres ont démontré l'imposture de cette légende de "bienfaiteur de l'humanité" qui a béatifié Louis Pasteur il y a plus d'un siècle (voir entre autres le livre du docteur Eric Ancelet "Pour en finir avec Pasteur" cité dans la bibliographie). C'est certes Pasteur qui, sur des bases frauduleuses, a initié le processus de l'industrialisation de cette pratique médicale à l'échelle planétaire, mais ses continuateurs sont tout aussi fautifs ; ils se sont bien gardés de dénoncer l'imposture et ils ont dû être singulièrement soutenus par les pions du gouvernement mondial occulte pour pouvoir faire durer et empirer cette forfaiture jusqu'à notre époque ("perseverare diabolicum est" !). Les pratiques cou-rantes en vigueur dans la nébuleuse vaccinaliste, telles que :
• les rapports faussés pour faire croire à l'influence des vaccins sur le recul des épidémies,
• le refus de reconnaître les victimes des vaccinations,
• le vote de l'obligation vaccinale par les gouvernements, dans des conditions plus ou moins frauduleuses,
• l'exclusion scolaire et autres harcèlements administratifs pénalisant les enfants non vaccinés et leurs parents,
• l'embrigadement des médecins et infirmières par les lobbies vaccinalistes pour en faire des "pelotons de vaccina-tion",
• les mensonges sur la dangerosité des épidémies afin d'effrayer la population,
• les campagnes éhontées du Ministre de la Santé, servilement relayées par le Ministère de l'Education, pour pro-mouvoir en 1994 le vaccin contre l'hépatite B tout en faisant croire qu'il était obligatoire,
• le transfert en 1995 de 1,7 milliard de francs des caisses de la Sécurité Sociale vers celles des laboratoires lors de la campagne de vaccination contre l'hépatite B,
[Ah, si seulement, "en vendant des produits qui guérissent le Sida comme la calvitie", la "nébuleuse an-throposophique" pouvait s'enrichir aussi vite que la nébuleuse vaccinaliste, que de fermes bio-dynamiques pourrions nous créer ou soutenir ! (les deux expressions entre guillemets sont des morceaux choisis du rapport officiel de Jacques Guyard "Les sectes et l'argent" de 1999, dirigé ignominieusement contre l'anthro-posophie, et ne semblent toujours pas démenties par Alain Vivien, qui, dans son livre "Les sectes" de 2003, a renouvelé les attaques grossières contre un Steiner "raciste" et des enfants d'anthroposophes "non vac-cinés", se moquant impunément des conclusions du procès en diffamation intenté contre Jacques Guyard)]
• les propagandes pour les vaccins anti-grippe (liés aux épandages aériens ?),
• celles plus sournoises des pédiatres pour culpabiliser les mères face à l'arrivée de méchants pneumocoques (eux aussi convoyés par les épandages aériens ?),
• les vaccinations à l'aveuglette sans examen préalable des conditions de "terrain" de chaque cobaye,
• les pressions inquisitoriales du Conseil de l'Ordre des Médecins (créé sous le gouvernement de Vichy) exercées sur les médecins "déviants" qui osent ne pas jouer le jeu de la pensée vaccinaliste unique, et qui sont donc sans aucun doute "membres de sectes",
toutes ces pratiques sont autant de procédés mensongers, malhonnêtes et totalitaires directement inspirés par les forces du mal.

Il n'y a qu'à voir avec quel acharnement les instances sanitaires cherchent à vacciner les jeunes enfants dès leur naissance, afin de leur injecter un ensemble de poisons alors que leur système immunitaire n'est pas encore formé, pour être conduit à suspecter le caractère diabolique de l'opération. Non seulement on provoque ainsi des accidents post-vaccinaux plus ou moins graves, à plus ou moins brève échéance, mais on empêche également les enfants d'affronter correctement les maladies infantiles karmiques qui doivent leur servir d'obstacles à franchir pour renforcer leur constitu-tion.
D'autre part, avec la venue au monde d'un nombre toujours plus grand d'enfants "étoiles" (on dit aussi enfants "in-digo" d'après la couleur de leur aura), qui se caractérisent par une forte personnalité affirmée très tôt, un lien plus étroit avec le monde spirituel et une sainte horreur du mensonge (qu'ils détectent jusque dans les pensées), nous sommes sans doute parvenus à l'époque dont parle Rudolf Steiner, où des vaccins seront utilisés pour annihiler les aspirations spiri-tuelles des enfants. Des médicaments complémentaires comme le Ritalin servent déjà de camisole chimique pour les hyperactifs les plus réfractaires au monde matérialiste qu'on leur propose.

En outre il faut être bien conscient de ce paradoxe diabolique qui veut que les vaccins ne soient pas considérés comme des médicaments ! Ainsi ils ne sont pas soumis aux longs tests d'innocuité que doivent subir les médicaments avant d'obtenir une autorisation de mise sur le marché. Les vaccins sont inoffensifs par définition, donc non justiciables du principe de précaution ! Personne, à part les laboratoires fabricants-vendeurs, ne sait d'ailleurs au juste ce qu'il y a dedans, ce qui facilite d'autant la petite cuisine du diable. Les instances sanitaires publiques sont priées d'afficher une confiance aveugle dans ces laboratoires ! Ceux-ci n'ont qu'une légère obligation de suivi de l'action du vaccin pendant quelques jours (une semaine au plus ?) ; passé ce délai, quand ce n'est pas avant, ils manifesteront la mauvaise foi la plus criante pour démentir toute corrélation entre un accident post-vaccinal et la vaccination. Il faut dire que c'est aussi avec la plus mauvaise volonté possible que les instances sanitaires réalisent des enquêtes statistiques sur les ac-cidents post-vaccinaux, par exemple en n'obligeant pas les médecins à rapporter ces conséquences néfastes alors qu'elles les obligent par ailleurs à manier la seringue. Il est conseillé de lire quelques-uns des livres qui relatent la détresse des familles qui se retrouvent avec un enfant handicapé à vie suite à une vaccination imposée et qui n'obtiennent aucun dédommagement (les procès intentés ayant peu de chance de leur "rendre justice"), pour se rendre compte de la cruauté démoniaque de ce système étatique totalitaire. C'est là que l'on ressent à fond la notion d'"Etat criminel", instrumentalisé en raison de son pouvoir législatif coercitif (ici l'obligation vaccinale) et de l'impunité qu'il peut garantir en toute immoralité aux laboratoires (par la collusion de ceux-ci avec des politiciens, administratifs et juges complices).

Les vaccins contre l'hépatite B, qui ont été l'objet de toutes les attentions du "bon" docteur Douste-Blazy en France et plus généralement de l'OMS au plan mondial, commencent à avoir une réputation quelque peu douteuse. Ils ont d'abord laissé une épidémie de Sida dans le sillage des premières campagnes de vaccination dans la population homo-sexuelle et dans différents pays africains. Certains de ces vaccins, car il faut les différencier en fonction des officines qui les fabriquent, ont aussi pour particularité d'être parmi les premiers à inclure des adjuvants à base d'aluminium, respon-sables de la myofasciite à macrophages qui peut apparaître comme accident post-vaccinal.
D'autre part, selon le livre de Sylvie Simon "Le vaccin anti-hépatite B en accusation" cité dans la bibliographie, l'étrange slogan publicitaire suivant a été diffusé en 1988 dans les revues médicales pour la promotion du vaccin Engérix de SmithKline Gerench (Suisse) : "Toute bombe à retardement ne ressemble pas à celle-ci". Le moins que l'on puisse dire est que ce message est plutôt énigmatique et incite à la réflexion. On doit sans doute envisager deux types de desti-nataires. Si le message est à destination du lecteur ordinaire, celui-ci peut penser que le virus de l'hépatite B sera éradiqué un jour, à une date non définie (dans 20 ans ?) ; cependant, ceux qui ont été victimes d'accidents post-vaccinaux pour-ront estimer que la bombe leur était destinée plutôt qu'au virus, ce qui n'est pas très promotionnel. Si par contre le mes-sage est destiné à des membres du gouvernement mondial occulte (car les médias standard peuvent servir subreptice-ment de support à leurs communications), il faut peut-être oser une interprétation un peu plus diabolique, qui tient compte des informations suivantes fournies par Marc Filterman dans son livre "Les armes de l'ombre", cité dans la bi-bliographie.
On doit d'abord s'initier à la notion importante d'"arme binaire", c'est-à-dire une arme faite de deux composants qui pris isolément sont (relativement) inoffensifs mais dont la réunion déclenche un effet destructeur. Marc Filterman parle ensuite de l'action des micro-ondes pulsées capables de provoquer sur le vivant des réactions chimiques et des muta-tions de virus et de bactéries. Lors de la guerre du Golfe de 1991, les soldats occidentaux ont été préalablement soumis à des médicaments préventifs (dont le dangereux bromure de pyridostigmine en cours de test) et à des vaccins multiples au contenu gardé secret (dont un vaccin expérimental contre le botulium et un autre controversé contre l'anthrax), puis ils ont été exposés au cours des opérations à d'intenses rayonnements d'ondes électromagnétiques, dont les micro-ondes de très forte puissance des radars (voir la section 8) ; l'hypothèse émise par Marc Filterman est que ce serait l'action de ces ondes sur les produits des médicaments et des vaccins qui, couplée avec l'affaiblissement du système immunitaire dû au stress intense des combats, aurait provoqué les maladies dégénératives des soldats et les malformations chez leurs descendants, ce que l'on a appelé le syndrome de la guerre du Golfe (on doit bien entendu tenir compte également de l'inhalation ou de l'ingestion de l'uranium appauvri qu'ont abondamment disséminé les gentils organisateurs de cette "guerre propre" de l'Axe du Bien par le biais des nouveaux obus perforants, laissant en souvenir à la population ira-kienne des champs de bataille radioactifs, terrains de jeux idéaux pour les enfants).
Munis de ces nouvelles et peu réjouissantes connaissances, nous pouvons revenir au vaccin de l'hépatite B et émet-tre l'hypothèse qu'il pourrait bien être le premier composant d'une arme binaire, le deuxième composant étant un rayonnement de micro-ondes pulsées qui serait déclenché à une date fixée par le gouvernement occulte, sur des popula-tions ciblées ; le vaccin constituerait donc à juste titre "une bombe à retardement d'un genre nouveau" et son slogan publicitaire signalerait simplement le début de la mise en place du premier composant de l'arme binaire ! Les accidents post-vaccinaux seraient alors des "ratés" gênants de par leur effet dissuasif, pouvant freiner le programme mondial de vaccination avant la date prévue de mise en œuvre du deuxième composant de l'arme binaire.
Comme indices à charge supplémentaires, on peut mettre en avant l'acharnement suspect des instances officielles à vouloir imposer ce vaccin alors qu'aucune menace sérieuse d'épidémie n'existe, et aussi le fait que la présence assez nouvelle de l'aluminium comme adjuvant des vaccins puisse avoir les mêmes fonctions que celles des sels d'aluminium contenus dans les traînées chimiques aériennes, c'est-à-dire faciliter la propagation des ondes électromagnétiques, dans ce cas-là les attirer dans le corps, et favoriser, en attendant l'heure H, la dégénérescence du cerveau. Rappelons-nous en outre que les victimes occidentales du syndrome de la guerre du Golfe luttent depuis près de 15 ans pour faire reconnaî-tre par leurs armées respectives le lien entre leurs maladies et leur engagement sur la scène du conflit, ce qui n'est pas sans rappeler le refus obstiné des laboratoires de vaccins d'admettre les accidents post-vaccinaux. On notera à ce propos qu'à la fin de la guerre du Golfe, les instances médicales militaires des Etats Unis (et peut-être aussi celles des autres pays occidentaux) ont reçu l'ordre de détruire les carnets de santé des soldats où étaient enregistrées les prises de médica-ments et les vaccinations ! (voir le livre "Uranium appauvri. La guerre invisible" de Martin Meissonnier et autres auteurs, sur la cruauté dont savent faire preuve les hauts dirigeants des armées vis-à-vis de leurs propres troupes. Mentionnons en passant que Henry Kissinger tenait les militaires pour des abrutis jetables).
De plus, suite au déclassement de certains documents (grâce au "Freedom Of Information Act", la loi sur l'accès plus rapide aux archives secrètes de l'Administration, et dont on n'est pas près d'avoir l'équivalent en France), il a été confirmé que les différentes armées n'ont jamais hésité, depuis des décennies, à tester les produits de la guerre biologique sur les populations civiles et sur leurs propres soldats, bien entendu à leur insu (voir à ce sujet le livre "L'Etat voyou" de Wil-liam Blum). Ces soldats ont certainement servi de cobayes pendant la guerre du Golfe pour valider en vraie grandeur l'action des micro-ondes sur les produits vaccinaux, tout ceci dans la confusion de ces "tirs amis" qui ne semblent pas avoir soulevé beaucoup d'indignation et qui sont allés se fondre dans l'insignifiance des "dommages collatéraux".
Comment les hauts dirigeants des gouvernements et des armées peuvent-ils être aussi inhumains avec leurs pro-pres peuples, demanderez-vous ? C'est peut-être parce que précisément ils ne sont pas, ou ne sont plus, des êtres hu-mains (voir la troisième partie).
Mais il n'y a pas lieu de se focaliser uniquement sur les militaires. Au Canada, le journaliste québécois Serge Monast a dénoncé, il y a déjà quelques années, une campagne sauvage de vaccination des enfants contre la méningite, où il a constaté que de "braves" infirmières utilisaient des seringues spéciales sur lesquelles il fallait exercer une pression assez particulière ; en fait on profitait de la vaccination pour inoculer un implant (une puce électronique) aux enfants, comme cela peut se faire avec des animaux. Ces implants permettent de suivre l'individu à la trace, et surtout d'interférer par ondes électromagnétiques avec sa santé ou ses émotions ou sa pensée. Depuis, avec les techniques du "nano-monde" (le millième de micron), on peut utiliser des cristaux liquides programmables (des polymères) comme adjuvant des vaccins, et il n'est plus besoin de recourir à une seringue spéciale.

Pour compléter le tableau, référons nous à Leonard Horowitz qui, dans son livre non encore traduit « Death in the air : globalism, terrorism and toxic warfare » publié 3 mois avant les attentats du 11 septembre 2001, a indiqué un code numé-rologique souvent utilisé par certaines branches des Illuminati : il s’agit du code basé sur le 6, où chaque lettre de l’alphabet se voit attribuer la valeur 6 multipliée par son rang dans l’alphabet (A=6, B=12, C=18, etc). Si l’on additionne les valeurs des lettres d’un mot selon ce code, le mot « vaccination » prend la valeur 666, le nombre de la Bête. Il partage cette funeste propriété avec le mot « Kissinger » ; il faut savoir que le Henry du même nom (qui n’est pas son nom de naissance) a milité activement auprès des laboratoires pharmaceutiques Merck pour qu’ils mettent au point des virus immunosuppresseurs simulant les virus HIV et Ebola, en vue de réduire la population noire africaine sous prétexte de vaccination bienfaitrice. Ce grand humaniste est sans conteste un pion de valeur pour les Illuminati, car peu de criminels de guerre, ayant comme lui à leur actif des millions de morts sur tous les continents, peuvent se prévaloir d’avoir reçu un prix Nobel de la Paix pour de tels services rendus.
A ceux qui, pourvus de toutes ces informations, se sentiraient toujours des inconditionnels de la vaccination obliga-toire, nous conseillerions bien d'essayer un vaccin anti-contrôle de la pensée, mais il est peu probable que les laboratoi-res traditionnels aient cet article en rayon.

8 - Troisième "projet noir" : le contrôle total de l'espace des télécommunications
Les militaires états-uniens (et leurs homologues des autres pays) veulent mener les guerres locales modernes en étant dans les mêmes conditions "virtuelles" que lorsqu'ils sont assis devant une console de jeux vidéo. A cette fin, les radars doivent pouvoir balayer sans entrave le champ de bataille, à partir du sol ou d'avions de surveillance (de type AWACS) ou de satellites, et recueillir toutes les données permettant de reconstituer en temps réel sur écran les élé-ments clés du combat. Des épandages aériens de sels de baryum sont alors effectués au préalable sur la zone du conflit de façon que l'air puisse avoir une conductivité optimum pour le transport des ondes électromagnétiques. Ainsi on a pu voir des traînées chimiques dans le ciel lors des guerres d'Irak, de Yougoslavie, d'Afghanistan.
La bonne conductivité de l'air n'est pas seulement nécessaire pour la récolte d'information par radar mais aussi pour assurer le bon fonctionnement des armes électromagnétiques, létales ou non, qui s'appuient, comme les radars, sur des ondes de hautes fréquences modulées ou pulsées. Leurs buts peuvent être de détruire l'électronique des appareils de l'adversaire, de tuer les combattants ennemis, de les affaiblir physiquement ou de les conditionner psychiquement (il existe toute une panoplie de ces jouets militaires, entre le "rayon de la mort", déjà proposé par Nikola Tesla au début du 20ème siècle, et l'"arme psychotronique").

Pour les guerres à distance ou dans l'espace (voir la "Guerre des Etoiles" déclarée à tout oiseau, ballon, avion, mis-sile, vaisseau spatial, OVNI, satellite…), les radars et les armes électromagnétiques doivent être "trans-horizon". Dans ce cas on s'arrange pour faire circuler les ondes électromagnétiques autour de la terre par réflexions successives sur des miroirs ionosphériques (créés par les réchauffeurs de type HAARP) et des miroirs près du sol (créés par des traînées chimiques aériennes).
Les techniques du projet HAARP permettent aussi de communiquer à grande distance avec les sous-marins en plon-gée, et même de recharger leurs batteries en faisant voyager l'énergie électrique "sans fil", selon un autre procédé inventé par Tesla.

9. - Quatrième "projet noir" : le contrôle des émotions et des pensées humaines
La Terre est un être vivant, comme tous les hommes, animaux, végétaux, qui lui sont indissolublement liés. De façon naturelle, la Terre génère des ondes électromagnétiques :
• dans l'atmosphère ; ces ondes, appelées de façon globale "résonance de Schumann", sont dues aux éclairs qui se déclenchent régulièrement entre l'ionosphère et le sol à la surface de la planète ; elles ont une très basse fréquence moyenne tournant autour de 7,8 Hz,
• dans le sol ; ce sont les ondes géomagnétiques, également de basse fréquence ; les différents minéraux de l'écorce terrestre modulent ces ondes telluriques.
Les biorythmes sur la planète, donc ceux de l'homme en particulier, dépendent du bon équilibre entre ces ondes at-mosphériques et ces ondes telluriques.
Or certaines techniques HAARP ressemblent à un effet transistor, mais à l'échelle planétaire : le faisceau émis par HAARP peut servir de télécommande pour doser la quantité d'énergie soustraite à l'ionosphère et propulsée au sol. Cette énergie s'ajoute aux éclairs naturels et perturbe la résonance de Schumann de l'atmosphère.
De même les tours GWEN et les antennes émettrices/relais perturbent les ondes telluriques en raison des énergies qu'elles émettent à travers le sol.

L'homme en tant qu'être vivant est lui aussi le siège de phénomènes électromagnétiques (selon Viktor Schauberger, il faudrait différencier le ferro-électromagnétisme et le bio-électromagnétisme, mais nos appareils de mesure actuels sont apparemment sensibles aux deux sans être capables de les distinguer).
Depuis les années 1950 on s'est intéressé aux différentes ondes électromagnétiques de très basses fréquences émi-ses par le cerveau d'une personne en fonction des activités mentales auxquelles elle se livre :
• ondes delta (0,5 à 3 Hz) pour le sommeil profond,
• ondes thêta (4 à 7 Hz) pour les images mentales, le rêve éveillé, la concentration mentale interne,
• ondes alpha (8 à 12 Hz) pour un état de relaxation, où on se concentre bien et apprend facilement ; on se sent particulièrement bien lorsqu'on est en accord avec le fréquence de la résonance Schumann de la terre ; la fré-quence de 10 Hz correspondrait à un état hypnotique,
• ondes bêta (13 à35 Hz) pour les activités familières tournées vers l'extérieur, la fréquence augmentant avec l'agi-tation et le stress.
Ces découvertes sont associées aux électroencéphalogrammes, qui enregistrent les profils d'ondes, et aux techni-ques de "bio-feedback" qui permettent à un individu d'exercer et d'améliorer lui-même certaines de ses capacités psychi-ques.
On s'est aperçu également que l'on pouvait forcer artificiellement le cerveau à émettre dans une bande de fré-quences donnée en dirigeant sur lui le signal d'un générateur électromagnétique externe ; on a d'abord procédé en branchant directement des électrodes sur le cerveau, puis on s'est affranchi de celles-ci en transportant le signal sur une fréquence "porteuse" comme en radiophonie. Normalement ce sont nos corps subtils (éthérique, astral, etc.) qui sont porteurs de notre état de conscience, de nos émotions et de nos sentiments et qui, en fonction de ceux-ci, les "matériali-sent" en quelque sorte dans le corps physique sous forme de transformations chimiques et d'ondes cérébrales. Les expé-riences précédentes montrent que le chemin inverse est possible et qu'en obligeant le cerveau physique à se syntoniser sur telle ou telle fréquence, on crée les états psychiques correspondants dans les corps subtils. En fait ces correspon-dances ne sont pas simples ; pour obtenir un effet donné, on doit associer des combinaisons précises de fréquences, de formes d'onde, de niveaux de puissance. C'est surtout en enregistrant les profils des électroencéphalogrammes lors de tel ou tel état psychique que l'on sait quel signal "rejouer" pour recréer cet état par une onde électromagnétique exté-rieure. Notons que les niveaux de puissance mis en œuvre pour télécommander les ondes cérébrales sont très faibles.

Bien entendu les services secrets, âmes damnées des gouvernements, et les militaires (surtout russes et états-uniens) se sont emparés de toutes ces connaissances et ont mis au point des armes dites "non létales" permettant de contrôler les états de conscience et les émotions des opposants. Ces armes électromagnétiques se sont perfectionnées au fil du temps, offrant la possibilité de faire entendre des voies, d'imposer des pensées, de déclencher des maladies, en en-voyant les profils électromagnétiques qui leur correspondent ; tout ceci à distance, en transportant le spectre basse fréquence sur une onde porteuse de haute fréquence, la valeur de celle-ci n'étant d'ailleurs pas indifférente : ainsi les fréquences 400-450 MHz seraient la fenêtre de la conscience humaine et de notre réalité spatiale et temporelle, celle de 1100 Mhz serait la fréquence de résonance de l'ADN. Au début il fallait un implant relais dans la personne visée (implant dentaire, cristaux liquides d'un vaccin, etc.), maintenant on peut s'en passer, surtout si l'arme n'est pas utilisée de façon sélective. D'ailleurs, l'ADN d'un individu ayant une signature électromagnétique unique, nul doute qu'il pourra servir à le repérer à distance dans une foule (si ce n'est déjà fait).
Comme en témoigne le document officiel "La révolution dans les affaires militaires", toute une stratégie de "communi-cation" (alias "propagande") a été mise en œuvre aux Etats-Unis pour faire progressivement accepter par l'opinion publique le principe de ces armes non létales, qui portent atteinte au libre arbitre de la personne humaine. Les militai-res états-uniens ont accepté sans grand scrupule d'abaisser de quelques crans le "seuil de l'éthique" de leur "code d'honneur", les "élus du peuple" n'ont pas rechigné à faire une entorse de plus aux amendements de leur Constitution qui protégeaient la liberté de pensée et la libre expression, et, comme les conventions internationales étaient hostiles à ce type d'arme, le Ministère de la justice (que l'on dit le plus pourri de la planète) est venu au secours du Ministère de la Défense pour indiquer que leur utilisation serait limitée à la lutte contre l'ennemi intérieur (le concept de "terroriste" était déjà dans l'air, prêt à être "mondialisé" après les attentats du 11 septembre 2001).

Au delà des premières escarmouches dans les années 1960-1970 entre Russes et Américains (au nombre desquelles figure l'exposition de l'ambassade des Etats-Unis à Moscou à un rayonnement de micro-ondes maléfique), les armes psy-chotroniques ont été employées dans des guerres récentes comme celles d'Irak, d'Afghanistan, de Yougoslavie, du Rwanda, et, en temps de paix, à l'intérieur des pays occidentaux dits "démocratiques" pour calmer ou exalter ou exciter des foules à l'occasion de grands rassemblements consensuels ou de manifestations plus ou moins hostiles au pouvoir (ce fut le cas par exemple pour la grand'messe des jeunes chrétiens lors de la visite du pape à Toronto, ou pour le condi-tionnement de la foule new-yorkaise après les attentats du 11 septembre 2001).
Depuis les techniques de "contrôle de l'esprit" de la première moitié du 20ème siècle répertoriées par Serge Tchakho-tine dans son livre "Le viol des foules par la propagande politique", beaucoup de progrès ont été faits dans ce domaine. Il paraît que nous sommes arrosés en permanence, à partir de ballons ou de satellites, de messages envoyés par des ar-mes psychotroniques de contrôle de la pensée, comme par exemple le nom d'une marque publicitaire ou d'un candidat aux élections. Cela permet d'atteindre les quelques récalcitrants qui n'ont pas la télévision et qui se soustraient ainsi à ses messages répétitifs ostentatoires ou subliminaux. Grâce à ces techniques évoluées de conditionnement et aux urnes élec-troniques aisément falsifiables, les politiciens véreux ne peuvent que se féliciter du passage au "tout numérique".

Le projet HAARP inclut cette facette du contrôle des émotions, des pensées, des comportements, mais cette fois à l'échelle planétaire. Dans sa gamme étendue de fréquences, de puissances et de formes d'ondes, on trouve tout ce qu'il faut, en particulier les signaux de modulation de très basses fréquences et de très faibles puissances. Toutefois, depuis 2001, c’est l’énorme réseau des tours d’antennes émettrices et relais qui, sous le couvert du déploiement des télépho-nes portables, se voit confier un rôle essentiel dans le contrôle mental, émotionnel et même physique des populations locales, en plus du contrôle du climat.
Inutile de dire que cette fonction globale ou sélective de contrôle de l'esprit est de la première importance pour la mise en place de la dictature du Nouvel Ordre Mondial.

10. - Commentaire récapitulatif sur les multiples aspects des projets HAARP
Les projets de type HAARP s'appuient beaucoup sur les travaux de Nikola Tesla, qui, entre la fin du 19ème siècle et le début du 20ème siècle, a déposé des dizaines de brevets relatifs à l'électromagnétisme et à l'énergie libre (celle de l'éther) ; bon nombre d'entre eux sont à l'origine de la plupart des techniques électriques que nous employons encore aujourd'hui. Cet inventeur étonnamment prolifique, mais qui ne s'intéressait pas vraiment à l'écologie, était, d'après ses écrits, tout à fait conscient des usages positifs ou négatifs que l'humanité pourrait faire de ses inventions, en particulier de celles qui mettaient en œuvre des forces naturelles à l'échelle de la planète. Pour le moment, ce sont surtout les servi-ces secrets et les militaires russes et états-uniens qui s'en sont inspirés pour en développer le potentiel négatif, en met-tant à profit les progrès impressionnants de l'électronique de la deuxième moitié du 20ème siècle.
Si la "fée électricité" a bien caché son jeu avant que l'on s'aperçoive de son côté "sorcière", on ne s'étonnera pas que le projet HAARP qui lui est lié ne soit pas en reste en matière de dissimulation. Il a commencé avec un nom plaisant et un objectif de type "recherche fondamentale" : "bombarder l'atmosphère avec des micro-ondes modulées pour procéder à des mesures scientifiques sur le mouvement des particules de vent solaire dans la magnétosphère de la terre". Si le terme de harpe fait penser initialement à des ondes sonores créatrices (le "Verbe"), le libellé du projet nous ramène assez vite à une harpe d'ondes électromagnétiques plutôt destructrices.
Le fait que l'Armée de l'Air et la Marine états-uniennes dirigent le projet conforte cette impression que le mot HAARP n'est qu'un joli paravent et que ce qu'il cache n'a pas du tout pour but une évolution harmonieuse et pacifique de l'humanité. La carence des études d'impact biologique et environnemental qu'on a reprochée au projet s'explique d'ail-leurs tout à fait dans la mesure où son but véritable est la destruction à tous niveaux et non la préservation. Listons ci-après quelques-uns des objectifs réels qui sont assignés au projet, tels qu'ils sont répertoriés entre autres dans le livre "Les Anges ne jouent pas de cette HAARP", cité dans la bibliographie.
• avoir la maîtrise exclusive de l'espace des télécommunications de la planète,
• remplacer les techniques existantes de communication avec les sous-marins,
• détruire les communications radio et les équipements des vaisseaux spatiaux, fusées, missiles, avions de l'enne-mi, en épargnant bien sûr ses propres appareils,
• provoquer des accidents dans les réseaux électriques terrestres, les oléoducs et gazoducs,
• provoquer des trous dans la couche d'ozone au dessus de l'ennemi pour le faire griller (en remplacement des ex-plosions nucléaires dans l'atmosphère),
• faire la tomographie de la couche terrestre sur de vastes étendues, entre autres pour localiser des gisements de minerais, pétrole, gaz,
• mener une guerre économique ou politique via une guerre climatique de l'ombre, en créant artificiellement des inondations, des sécheresses, un froid sibérien, des ouragans, et en provoquant des tremblements de terre ciblés (pendant la guerre froide, les Russes pratiquaient sur leur propre sol des explosions nucléaires souterraines des-tinées à déclencher quelques jours plus tard des séismes à des milliers de km de distance, en principe chez l'en-nemi, mais en l'absence de connaissances assez précises sur la propagation des ondes dans la croûte terrestre, la probabilité d'atteindre la cible visée était insuffisante),
• réduire la population du monde en déclenchant des maladies sur des groupes humains ciblés,
• contrôler l'esprit des humains à l'échelle de la planète (le rêve des Illuminati).

D'un point de vue stratégique et économique, le projet HAARP vise à dominer toute la planète à partir du sol des Etats-Unis, en limitant le plus possible le nombre de bases militaires états-uniennes installées dans les autres pays du globe, et à unifier toutes les techniques guerrières grâce à un seul outil généraliste, en remplacement de techniques antérieures obsolètes ou trop coûteuses.

11. - Symptômes et coïncidences
Dans un article de la revue TOP SECRET n°7 (mai 2003), Mickaël Golan fait remarquer que le mot "harpe" apparaît 46 fois dans l'Ancien Testament, 7 fois dans le Nouveau Testament, dont 5 fois dans l'Apocalypse.
Il fait également état d'un certain nombre de "coïncidences" où le système HAARP aurait bien déjà pu servir d'arme de destruction massive dans la gestion de conflits politiques latents entre les Etats-Unis et d'autres pays qui, sans être encore sur la liste des "Etats voyous", auraient de la peine à marcher au pas imposé par l'Empire. Ainsi, pour la France, les deux tempêtes de Noël 1999 seraient une mesure de rétorsion climatique suite à l'opposition française aux OGM et au traité de l'AMI, ce qui expliquerait l'espèce de capitulation ultérieure de Lionel Jospin sur ce sujet des OGM et de la mondialisation. Il y a des doutes également sur les circonstances réelles du naufrage du pétrolier ERIKA le 12 décembre de la même année, qui pourrait avoir servi de première sommation, prenant la forme plus discrète d'une pollu-tion devenue conventionnelle ; M.Golan s'intéresse en effet au nom du pétrolier impliqué : en le faisant précéder de "I AM", on obtient une formule d'identification "I AM ERIKA" (je suis Erika) qui se prononce comme "I, AMERICA" (moi, l'Amérique), ce qui pourrait être interprété comme une signature. Cet apparentement terrible paraît se confirmer avec le nom du cyclone tropical ERIKA qui a dévasté la Nouvelle Calédonie le 14 mars 2003, c'est à dire le jour même pro-posé par Dominique de Villepin pour la tenue d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU en vue d'évaluer la situation concernant l'Irak, ce qui était certainement considéré comme un affront par les Etats-Unis. Il semble donc que le Diable de l'Axe du Bien ait pris l'habitude de signer ses œuvres, soit par bravade, soit parce que son contrat avec des autorités supérieures des mondes suprasensibles lui impose de laisser aux hommes quelques indices de son existence réelle.

Comme HAARP sait aussi provoquer des cataclysmes sismiques, M.Golan se demande si le tremblement de terre ressenti en France et en Allemagne le 22 février 2003 n'avait pas pour but de sermonner les deux pays principaux qui s'opposaient à l'invasion de l'Irak, et si celui qui a frappé la Chine tout de suite après une visite infructueuse de Colin Powell ne traduisait pas la mauvaise humeur dévastatrice des faucons des Etats-Unis.
On peut aussi se poser des questions sur le tremblement de terre de fin 2003 en Iran, sachant que ce pays est une des bêtes noires du gouvernement états-unien dans cette zone pétrolière (c'est d'ailleurs sur la pointe des pieds que l'équipe de secours états-unienne est venue sur les lieux du drame, peut-être pour en constater de visu les effets). Cer-tains auteurs sur Internet (par exemple Joe Vials) se sont interrogés également sur l’éventuelle intervention de l’homme dans le déclenchement du tsunami indonésien de fin 2004, des projets comme celui baptisé « Seal » (phoque) ayant déjà eu pour objectif de provoquer des raz de marée par des bombes sous-marines ou autres techniques. De son côté, Mat-thew Ward, le fils défunt qui communique avec sa mère, indique que ces deux catastrophes, ainsi que celle du Pakistan, sont naturelles, la Terre ayant besoin de se délivrer de la négativité humaine accumulée au cours des millénaires dans certains points du globe. De ce point de vue, si ces éruptions sont absolument nécessaires à la survie de la Terre, il im-porte assez peu qu’elles soient déclenchées par des entités suprasensibles ou par leurs « sous-traitants » humains. Mat-thew Ward indique également que les morts et les survivants endeuillés de ces grandes catastrophes ont accepté ces conditions dans leur « contrat d’âme » avant de s’incarner, et que, d’un autre côté, les vibrants élans de solidarité mon-diale qui se manifestent pour les secours aux victimes apportent aussi une grande dose de positivité compensatrice.
Ce qui est assez remarquable, c’est la similitude des dates dans l’année (le 26 décembre, lendemain de la fête de Noël) entre les tempêtes en France (1999), le tremblement de terre en Iran (2003) et le tsunami en Asie (2004).

Les cyclones qui se sont produits en 2005 en Amérique Centrale (Katrina, Rita, Wilma, etc) ont eu des caractéristi-ques anormales, en amplitude, trajectoire, rapidité d’évolution dans un sens comme dans un autre. Sans doute nécessai-res à la santé de la Terre pour expulser la négativité des actions humaines, ils ont été cette fois manipulés par les systè-mes HAARP dans le but d’infliger de plus grands dégâts humains sur les côtes, mais il y a eu en contrepartie (selon Mat-thew Ward) des interventions d’aliénigènes bienveillants qui peuvent, par des techniques élaborées, amoindrir les effets destructeurs des catastrophes naturelles. Ce n’est pas vraiment le cyclone Katrina qui a détruit La Nouvelle Orléans, car il a étrangement bifurqué et faibli au moment de toucher la côte, mais le dynamitage des digues par la FEMA et l’obstruction diabolique qu’elle a faite à toutes les offres de secours (la destruction de la partie habitée par les Noirs était un projet démoniaque des Illuminati, comme les attentats du 11 septembre 2001). Dans le cas de Rita et de Wilma, il y a eu aussi une action consciente de la part des humains pour éviter leurs effets catastrophiques ; le site www.educate-yourself.org avait invité le plus de monde possible à détourner ou calmer ces cyclones par des techniques menta-les (prière, visualisation, utilisation d’outils éthériques), les formes-pensées positives ainsi générées étant relayées par les entités suprasensibles en mesure d’agir directement sur les éléments.

Face à la multiplication des antennes de toute nature que l’on peut constater dans notre environnement proche (et pas seulement dans un lointain Alaska !), on doit se souvenir qu’au début du 20ème siècle Rudolf Steiner avait anticipé la pollution électromagnétique dans laquelle baignerait l'humanité et qu’il avait incité à créer des textiles à partir de la tourbe, qui est un isolant contre les rayonnements (on utilise d'ailleurs la tourbe pour y stocker temporairement les pré-parats bio-dynamiques afin qu'ils ne rayonnent pas avant leur utilisation dans le compost ou dans les liquides à dynami-ser et pulvériser).
Va-t-on bientôt devoir évoluer dans des bures de fibres de tourbe avec capuche rabattue, rappelant les moines (ou les adeptes du Ku-klux-klan) ? Les nostalgiques partisans de l'uniforme et de la non-mixité à l'école pourront se réjouir, mais attention, on ne sera pas sûr de pouvoir contrôler efficacement la stricte séparation entre garçons et filles, et les jeunes filles islamistes risquent de garder leur voile sous le capuchon de la bure (une burka peut en cacher une autre) et d'enfreindre ainsi en catimini notre belle loi républicaine exemplaire sur la laïcité, qui conforte tant notre exception fran-çaise aux yeux du monde entier, quitte à raviver quelques conflits religieux au titre des dommages collatéraux et à ériger le laïcisme au statut d'athéisme ostentatoire et obligatoire.

(fin de la première partie)

tournant

tournant

LES « PROJETS NOIRS » DERRIERE
LES TRAINEES CHIMIQUES DANS LE CIEL
ET LES ANTENNES DE TYPE HAARP ET CONSORTS

Note préalable sur l’historique du présent dossier
La première version de ce dossier a été rédigée et distribuée en janvier 2004 dans le cadre du sous-groupe d’étude « symptomatologie » au sein du groupe ATOS consacré à la triarticulation sociale. Il avait pour but de faire le lien entre des phénomènes extérieurs étranges, à savoir les traînées dans le ciel laissées par des épandages aériens intensifs et récurrents, et les « projets noirs » menés par le gouvernement occulte de la planète, que l’on peut désigner sous le terme de « Nouvel Ordre Mondial Anti-Christique ».
Pour élargir le nombre de personnes susceptibles de conduire des actions contre ces projets néfastes, le dossier était aussi pensé pour un public non anthroposophe (principalement celui de la société civile) ; il replaçait les projets noirs dans le cadre plus général du problème du Mal tel que le présente la science de l’esprit de Rudolf Steiner, afin que les gens dépassent le cap initial et naturel de la peur et du découragement et comprennent le rôle des Forces du Mal dans le plan divin, qui à notre époque consiste à pousser l’humanité (surtout occidentale) à reprendre conscience de l’existence d’un monde spirituel après la phase de matérialisme qu’elle a dû traverser pour développer son intellect au contact du monde physique. Cette action du Mal a été singulièrement rude au 20ème siècle et menace d’empirer si l’humanité traîne les pieds sur le chemin du spirituel (l’échéance de 2012 est souvent mentionnée comme une date critique dans les écrits qui s’intéressent à ce sujet).
La présente et seconde version du dossier intègre des mises à jour dues aux recherches sur Internet (alors que la première version s’appuyait principalement sur des livres et revues) et aux évolutions du problème et de ses solutions survenues au cours de 2004 et 2005. Pour ces ajouts nous sommes redevables à un ensemble d’internautes dont certains (et plus souvent certaines) disposent de facultés psychiques et perçoivent les aspects éthériques ou astraux des phé-nomènes en jeu dans les projets noirs ; ils peuvent même agir dans les mondes suprasensibles en menant consciemment une « lutte éthérico-astrale » contre les entités adverses. D’autres informations Internet intéressantes sur la situation mondiale sont fournies à partir du monde suprasensible par un fils défunt (Matthew Ward, www.matthewbooks.com) dialoguant via un ordinateur avec sa mère encore vivante (c’est un peu la version moderne des « Lettres de Pierre » pu-bliées il y a quelques décennies en France pour établir un pont entre les vivants et les morts, autre problème important de notre époque).
Pour des raisons de taille du document, cette version est découpée en plusieurs articles qui paraîtront dans des nu-méros successifs de Tournant.

Première partie : présentation des « projets noirs »

Cette première partie est née sous la forme d’un compte rendu de lecture, assorti de commentaires personnels, du li-vre du Canadien François Pierre (alias Nenki) :
« Chemtrails. Les tracés de la mort », par Nenki,
Editrice Louise Courteau, Québec, 1er trimestre 2003, 147 pages, 17 euros.
Ce livre cherche à attirer l’attention de la population francophone sur les « projets noirs » qui se trament derrière :
• les épandages récurrents de produits chimiques et bactériologiques par des avions militaires et civils,
• les systèmes HAARP et consorts, qui émettent de puissantes ondes électromagnétiques dans l’ionosphère, l’atmosphère et le sol.

1 - Exercices préliminaires
Si vous êtes lassés d'observer les agriculteurs conventionnels ou "raisonnés" épandre des produits chimiques morti-fères depuis des décennies sur 98,5 % de la surface agricole française, si vous en avez assez de ramasser sur les côtes françaises les boulettes de fioul résultant du dégazage ou de la mort lente des pétroliers poubelles, si vous vous épuisez à lutter contre les incinérateurs diffuseurs de dioxine ou les enfouisseurs de déchets radioactifs, alors variez votre déplai-sir en contemplant les nombreuses traînées persistantes que pulvérisent les avions militaires et civils dans notre beau ciel de France (elles ont été particulièrement visibles durant l'été 2003 en Basse-Normandie).
Adonnez-vous à une observation goethéenne des transformations de ces traînées au fil du temps. Vous distinguerez aisément :
• les "traînées de condensation" ("contrails" en anglais, raccourci de "condensation trails"), qui se produisent à partir de 10 000 m d'altitude et s'estompent le plus souvent en moins de 2 minutes (la vapeur d'eau émise par l'avion gèle puis fond au soleil),
• les "traînées chimico-bactériologiques" ("chemtrails" en anglais, raccourci de "chemical trails"), qui, elles, peuvent se produire à beaucoup plus basse altitude, sont rémanentes des heures durant, s'effilochent lentement en prenant des formes parfois assez déplaisantes et finissent par couvrir tout le ciel d'un voile filandreux dont la chute douce vers le sol est favorisée par la pluie. On ressent à l’œil nu que ces faux nuages ont une consistance artificielle désagréable.
Les photos suivantes, tirées du site « evolutionquebec.com », montrent trois étapes de la progression du phénomène (cas élémentaire de 2 traînées et cas plus général d’un ciel crayonné) :


Certains avions vont même jusqu'à vous aider à bien faire la différence entre les deux types de traînée : ils émettent d'abord pendant un certain temps une traînée de condensation qui disparaît rapidement, puis une traînée chimique réma-nente lorsqu'ils vident leurs bonbonnes sur la zone ciblée, puis de nouveau une traînée de condensation évanescente, toute cette séquence se déroulant à la même altitude.
On peut trouver inversement un « temps mort » dans l’émission des traînées permanentes, qui correspond au passage d’une bonbonne vide à une nouvelle bonbonne pleine.
On remarquera aussi parfois la structure en boudins parallèles ou bien moutonnée de ces nuages chimiques lorsque ceux-ci sont soumis à des faisceaux d’ondes électromagnétiques.

On pourra constater que certains jours les avions n'ont que des traînées de condensation, alors que d'autres jours ils sont nombreux à laisser des traînées chimiques, et ceci dans des conditions atmosphériques identiques, comme ce fut le cas dans certaines régions françaises pendant la période de beau temps et de sécheresse d'août à octobre 2003. Des es-sais de corrélation avec le type de jour (racine, feuille, fleur, fruit) n’ont pas été concluants.
On en déduit qu'il s'agit bien de campagnes d'épandage délibérées, qui sont déclenchées à des dates fixées dont on ne connaît pas très bien les critères de choix (certaines belles journées de commémoration mondiale, comme celle du dé-barquement du 6 juin, semblent épargnées, car il y a sans doute trop de gens qui prennent des photos à cette occasion). Spatialement, les épandages se déroulent un peu partout mais peut-être plus particulièrement sur les agglomérations humaines, ne respectant pas les éventuelles interdictions de survol des villes.

Ces exercices d'observation terminés, armez-vous d'un certain courage si vous n'êtes pas familiarisés avec le thème de la dictature du Nouvel Ordre Mondial, et lancez-vous dans la lecture du livre de Nenki intitulé "Chemtrails. Les tracés de la mort". Vous y apprendrez de quels funestes projets ces traînées sont une composante. Heureusement, si l'on peut dire, elles sont bien visibles par temps clair et photographiables ou filmables, ce qui nous laisse une chance de contrer ces attaques contre l'humanité, à condition, comme le dit l'auteur, que nous émergions de notre apathie.

2 - Techniques d'épandage
Aux Etats-Unis et au Canada, l'épandage des aérosols se fait depuis au moins 1997 (date de la montée en régime) à partir d'avions citernes de l'armée et également, afin de donner à l'opération une plus grande ampleur en surface et en durée, à partir d'avions civils qui, selon deux témoignages complémentaires trouvés sur Internet, auraient été secrète-ment modifiés pour y inclure, dans la partie de la carlingue réservée aux eaux usées, un système de commande, des tuyaux, des pompes et des bonbonnes pour produits chimico-bactériologiques. Certaines des petites tiges de décharge statique placées sur le bord arrière des ailes auraient été percées à leur extrémité pour faire office de buses de pulvérisa-teur. Le système de commande déclencherait l'épandage de façon automatique, à l'insu du pilote, en fonction du plan de vol de l'avion. L'équipe de sous-traitants chargée de la vidange des eaux usées en profiterait pour recharger les bonbon-nes et paramétrer le système de commande avant chaque vol. Les lignes aériennes seraient rémunérées pour ces épanda-ges par les officines des "projets noirs" du gouvernement (quelques noms de code de ces opérations : "Feuille de trèfle", "Ciel rouge", "Danse de la pluie") ; seuls quelques employés seraient au courant et tenus au secret sous peine d'empri-sonnement.
Certains produits peuvent aussi être mélangés au kérosène et sortir alors normalement par les tuyères des réacteurs.
Sur la première photo ci-dessous, on remarquera un épandage à partir du bout des ailes, en plus de ce qui sort des tuyères. Sur la deuxième photo, rien de visible ne sort des tuyères, mais l’épandage se fait à partir d’un orifice sous cha-que aile. La troisième photo montre un équipement rajouté sur le fuselage d’un avion à hélices et qui n’est sans doute pas destiné à jouer de la trompette.


3 - Composition des produits pulvérisés
Aux Etats-Unis, les gens qui se sont insurgés contre ces épandages d’aérosols se sont heurtés à un mur de silence ou de dérision de la part des instances gouvernementales, des grands médias asservis et même de l'Agence de Protection de l'Environnement (EPA). Ils ont dû eux-mêmes recueillir des échantillons, soit solides (dans le cas des glus collées sur les maisons suite à des épandages massifs à très basse altitude), soit extraits de filtres HEPA exposés à l'air pendant plu-sieurs jours (dans le cas des traînées plus diffuses). Ils ont dû également écarter comme non fiable tout laboratoire d'ana-lyse ayant des contrats avec l'armée (la dictature étend ses tentacules comme une pieuvre). La liste des produits ren-contrés au fil des analyses comprend :
• le "dibrométhane": interdit depuis 1984, additif du carburant des avions (JP8), insecticide cancérigène, pouvant causer des oedèmes pulmonaires ;
• la bactérie "Pseudomonas aeruginosa", qui peut être à l'état naturel dans le sol, mais est aussi fabriquée par une compagnie au doux nom de "Patho-genesis"; sur les personnes vulnérables, cette bactérie forme un bio-film qui bloque le système immunitaire ;
• la bactérie "Pseudomonas fluorescens", qui se trouve aussi dans le sol ;
• des "entérobactériacées" : Escherichia coli et salmonelles pour les intoxications alimentaires, Klebsiella pour les infections pulmonaires ;
• la bactérie pathogène "Serratia marcescens", responsable de pneumonies, méningites, endocardites ;
• des streptomycines, composants des antibiotiques ;
• des enzymes restrictives, utilisées en laboratoire pour couper et recombiner l'ADN ;
• des cellules de sang humaines : globules rouges, globules blancs pris dans des agrégats ;
• d'autres bacilles, bactéries et moisissures pouvant provoquer des maladies cardiaques, des difficultés respiratoi-res et des maladies gastro-intestinales aiguës ;
• du BCTP huileux, antibiotique, décontaminant (sans doute testé après l'épandage d'une bactérie bénigne) ;
• des stéarates et sulfates de baryum, toxiques pour les mammifères ;
• différentes formes d'aluminium, neurotoxiques à l'origine de démences dégénératives (Alzheimer) ;
• des fibres de polymères, dont certains sont analogues aux additifs polymères utilisés en charcuterie pour uni-formiser la cuisson au four à micro-ondes.

4 - Syndromes biologiques
Un certain nombre d'atteintes à la santé ont pu être mises en relation avec l'épandage des traînées chimico-bactériologiques. Elles affectent naturellement de façon privilégiée les personnes dont le système immunitaire est le moins résistant, à savoir les jeunes enfants et les personnes âgées. Citons quelques-unes des affections identifiées : saignement de nez et de poumon, asthme et allergies, aspergillose broncho-pulmonaire allergique, grippe, bronchite, bronchiolite des nouveau-nés, pneumonie, syndrome de détresse pulmonaire, mort subite du nourrisson ou d'athlètes, décès dus au fongus noir (moisi noir ou rouge sur les récoltes vivrières), gastro-entérite, fatigue extrême ou chronique, acouphène, vertige, vision embrouillée, mental au ralenti, désordres immunitaires, etc.

5 - Les "projets noirs" de l'armée et des services secrets états-uniens (et autres)
La conspiration du silence officielle qui entoure les épandages d’aérosols ne peut que nourrir le soupçon qu'ils ca-chent des projets inavouables, dont on trouve sur Internet des descriptions assez angoissantes. Elles ne sont pourtant pas si invraisemblables que cela, si on les juge à l'aune des multiples méthodes de chaotisation du monde employées actuellement par ceux qui dirigent secrètement la mise en place du Nouvel Ordre Mondial, et que l'on nomme d'un terme générique : "Les Illuminati". Il est conseillé de relire les livres prémonitoires "Le meilleur des mondes" d'Aldous Huxley et "1984" de George Orwell pour se remémorer leur programme, et de consulter aussi des ouvrages plus récents qui décrivent son actualisation.

Il faut savoir que les épandages chimico-bactériologiques peuvent être utilisés de façon autonome, mais qu'ils sont le plus souvent réalisés en conjonction avec l'émission d'ondes électromagnétiques à partir de trois types de source :
• les émetteurs américains HAARP en Alaska, en Australie et ailleurs dans le monde, et leurs homologues rus-ses "Pic-vert" au nord de Moscou et en Sibérie, qui envoient vers l'ionosphère diverses ondes de très hautes et/ou très basses fréquences et de très grande puissance (une centrale nucléaire est dédiée à cela en Alaska !),
• les tours GWEN (Réseau d'urgence par ondes terrestres, en cas d'explosion nucléaire), de 100 à 170 m de hau-teur, espacées de 320 km, qui émettent dans la basse atmosphère et à travers le sol différents types d'onde, dont certaines de haute fréquence qui peuvent être :
o soit continues et porteuses d'une modulation de basse fréquence (modulation en amplitude, ou en fré-quence, ou en phase),
o soit discontinues sous forme d'impulsions de durée limitée (on parle d'ondes "pulsées"), avec une fai-ble "fréquence de récurrence" (nombre d'impulsions par seconde) ;
• les tours d’antennes « émettrices ou relais », militaires ou « civiles », qui ont fleuri partout dans le monde à par-tir de 2001, soi disant à l’occasion de la montée en flèche du nombre de téléphones portables, mais avec des fi-nalités connexes cachées ; elles utilisent de nocives micro-ondes pulsées, analogues à celles des radars dont le danger pour l’homme est identifié depuis des décennies.
Voici quelques exemples de tours assez impressionnantes. La première photo montre un champ d’antennes de l’installation HAARP de Gakona en Alaska. La photo suivante a été prise à proximité de la résidence d’été du pape (Monte Cavo près de Rome), la troisième sur la côte orientale de l’Espagne.

Des tours d’antennes plus modestes se trouvent en abondance le long des grandes routes, près des centres commer-ciaux, des terrains de sport. Les châteaux d’eau eux-mêmes sont réquisitionnés et se trouvent hérissés d’antennes, ce qui permet incidemment de passer l’eau potable aux micro-ondes.

D’autres antennes sont placées sur les toits des villes ou sont accolées à des bâtiments ou des poteaux de feux de signalisation. Certaines sont maintenant camouflées sous forme d’arbres artificiels ou à l’intérieur de poteaux d’enseignes ou d’éclairage public.

Ce sont donc ces quatre composantes : traînées chimico-bactériologiques, émetteurs HAARP, tours GWEN et sup-ports d’antennes émettrices/relais, qui constituent la boîte à outils polyvalente à la disposition de "projets noirs" vrai-ment démoniaques. En tant que spectateurs moyens, nous pouvons certes détecter les traînées dans le ciel, à condition de lever le nez de temps en temps, mais nous ne sommes pas du tout conscients de l'arrosage électromagnétique asso-cié, qui peut être simultané ou différé.

6 - Premier "projet noir" : la manipulation du temps météorologique.
La manipulation du temps fait l'objet de documents écrits tout à fait officiels de l'administration états-unienne, et avait été annoncée sans aucune ambiguïté par le va-t-en guerre polono-états-unien Brzezinski (dont le nom même donne déjà des frissons). Le programme de l'Armée "Weather as a Force Multiplier : Owning the Weather in 2025" (Le climat, dé-multiplicateur de puissance : dominer le climat en 2025) est déjà bien avancé, l'échéance éloignée de 2025 étant sans doute de la désinformation destinée à masquer l'état opérationnel d'au moins une partie du projet. Celui-ci ne vise évi-demment pas des buts humanitaires, mais une guerre météorologique de l'ombre, permettant de ruiner toute l'écono-mie d'un pays adverse, en provoquant des périodes prolongées de sécheresse ou de pluies diluviennes ou de chutes de neige ou de verglas (pouvant faire tomber toutes les lignes électriques).
L'acronyme poético-musical du programme HAARP (High-frequency Active Auroral Research Project) ne se réfère à l'étude des aurores boréales que pour présenter une "couverture" scientifique plutôt sympathique, qui cache en réalité son intégration dans le plan plus général de la "Guerre des Etoiles", chère à George Bush et à ses tristes acolytes. Ses installations d'antennes émettrices très puissantes ont entre autres pour fonction, en liaison avec les traînées chimiques, d'envoyer des ondes se réfléchir sur l'ionosphère en la réchauffant ponctuellement, de créer des ondes stationnaires à l'échelle du globe et de modifier ainsi le parcours des grands courants atmosphériques de vapeur d'eau (les "rivières du ciel" telles que le Jet Stream), de façon à créer à volonté des zones de sécheresse et des zones d'inondation.
La guerre météorologique secrète, commencée par les Etats-Unis et l'URSS dès la fin des années 1940, a "théorique-ment" été interrompue en mai 1977 (juste après la grande sécheresse de 1976 en France !) par une Convention des Na-tions Unies sur l'interdiction des modifications environnementales à usage militaire ou hostile (ENMOD). Ce n'est certes pas ce genre de traité qui va dissuader les factions secrètes des armées de continuer leurs expériences (il leur suffit de se retrancher derrière leur sinistre étendard de la "Sécurité Nationale"), mais en outre la convention ENMOD ne concerne pas les manipulations climatiques "civiles" ! On peut ainsi rejouer le même scénario hypocrite que celui du nucléaire "civil", qui permet tranquillement de fournir le combustible atomique nécessaire au nucléaire "militaire".
Dans les conflits déclarés et circonscrits tels que ceux du Kosovo et de l'Afghanistan, les Etats-Unis ont ouvertement mis en œuvre leurs techniques de manipulation du climat.
De façon plus générale, les catastrophes climatiques que nous avons subies à travers le monde ces dernières an-nées, comme la grande sécheresse puis les inondations de 2003 en France, ou les nombreux cyclones aux caractéristiques inhabituelles qui ont frappé l’Amérique centrale en 2005, ne reflètent plus les cycles habituels d'anomalies atmosphéri-ques. Elles sont donc dues à des interventions humaines délibérées et sournoises sur le climat, qui malheureusement jouissent de l'entière complicité de nos gouvernants et d'un manque total de curiosité de la part des médias et des agen-ces officielles de météorologie. Avez-vous entendu, dans les bulletins météo de votre radio ou de votre chaîne de télévi-sion préférée, la moindre allusion à la responsabilité éventuelle de HAARP dans la survenue des catastrophes climati-ques récentes ? Vos chroniqueurs-anesthésistes habituels vous ont-ils rapporté les débats du Parlement européen conduits par la députée belge Magda Hoalvoet du Groupe des Verts sur les inquiétudes de l'Europe vis-à-vis de HAARP ? Si la réponse est : non, c'est que la manipulation des esprits va de pair avec la manipulation du temps.
Question manipulation, il se pourrait bien que l'"effet de serre" dont on nous rebat les oreilles ne soit pas dû seule-ment à la pollution chimique de nos industries et de nos voitures, mais aussi à l'effet calorifique de l'intense pollution électromagnétique engendrée par notre civilisation, renforcé depuis quelques années par les produits des traînées chimi-ques qui sont chauffés par les émissions venant de l'ionosphère aiguillonnée par HAARP. De leur côté, certains voyants indiquent que c’est le soleil lui-même qui a augmenté son rayonnement depuis une décennie, conduisant à la fonte des glaces des pôles en préparation de diverses modifications de la surface de la terre.

7. - Deuxième "projet noir" : la réduction de la population du globe.
Comme cela transparaissait sans complexes dès les années 1970 dans des documents secrets (mais déclassés depuis) préparés par leur marionnette Henry Kissinger, les "Illuminati" sont partisans de l'eugénisme, et ils cherchent égale-ment à limiter le nombre des opposants lors de la phase finale de l'instauration de leur dictature mondiale. Les mé-thodes généralisées de contrôle des naissances y compris la stérilisation, les campagnes vaccinales systématiques pa-tronnées à l'échelle planétaire par l'OMS pour épuiser le système immunitaire en formation des nouveau-nés ou celui déjà affaibli des habitants victimes de malnutrition, les guerres et conflits provoqués partout dans le monde, si possible avec usage d'armes chimiques, biologiques ou à l'uranium appauvri et destruction des infrastructures civiles (comme en You-goslavie et en Irak), la misère et la famine répandues sans vergogne par les "programmes d'ajustement structurel" du trio maléfique OMC/FMI/BM, constituent quelques-uns des outils utilisés pour réduire la population humaine.
Afin d'accélérer le processus pour atteindre l'objectif du passage de 6 milliards à 2 milliards d'humains ou même moins, une stratégie perfide aurait été mise en place. Plagiant la politique commerciale du Beaujolais nouveau, elle consiste à pulvériser chaque année une souche différente de virus de la grippe et à habituer les gens à se faire vacci-ner (c'est gratuit pour les personnes âgées !). Certains auront déjà trouvé étrange que les instances sanitaires publiques soient capables d'identifier plusieurs mois à l'avance quelle épidémie de grippe se prépare et de quel lointain pays elle vient, et qu'elles disposent des vaccins justement adaptés à la souche de virus attendue ! A moins bien sûr qu'elles soient au courant et complices des campagnes d'épandage des aérosols de virus et d'agents chimiques associés, qui aident l'enveloppe virale à fusionner avec les cellules des poumons. Au début les vaccins contiennent des virus morts et sont efficaces, ce qui met en confiance et favorise le réflexe vaccinatoire annuel chez les gens. Ensuite ces vaccins contiendront une proportion de virus vivants, les gens tomberont malades lentement (le temps de propager le virus par contagion), jusqu'à finalement en mourir. Le fait que l'on meure de la grippe créera une panique et poussera les gens à se faire vacciner en masse, ce qui accentuera l'hécatombe chez les personnes dont les poumons auront été préparés par les épandages aériens. Nous sommes peut-être en train de vivre les premières étapes de ce plan diabolique. Et c'est donc d'une oreille un peu plus "éveillée" qu'il nous faudra dorénavant écouter à la radio les propagandes pour le vaccin anti-grippe de l'année diffusées par nos compatissants « Ministères de la Santé » (sic), surtout si l'épidémie se double de gastro-entérites et de bronchiolites, car c'est le cocktail des déclencheurs de ces trois maladies qui semble être couram-ment utilisé lors des pulvérisations d'automne ; on peut faire l'hypothèse que la grippe est surtout dirigée contre les per-sonnes âgées, la gastro-entérite contre les adultes et la bronchiolite contre les jeunes enfants, afin qu'il y en ait pour tout le monde !

7.a - L'exception française, version 2003 (commentaire du rédacteur)
En relation avec ce deuxième projet noir, ajoutons dans cette sous-section et les deux suivantes quelques commentai-res personnels qui concernent plus particulièrement notre cher pays. Pour le gouvernement mondial occulte, chaque nation se doit de contribuer à la réduction de sa propre population. Notre douce France a apporté sa quote-part durant l'été 2003 : une canicule entretenue par la guerre météorologique de l'ombre, avec des épandages chimiques aériens quasi permanents dans certaines régions, plus un retard manifestement appuyé des pouvoirs publics pour secourir les person-nes âgées et les malades, enfin le désintérêt désinvolte du hors-la-loi de l'Elysée en dépit d'un avis de recherche lancé au Canada, son lieu de vacances présumé ; résultat : 15 000 morts (on vous fait grâce du nombre d'invalidés qui ont eu le mauvais goût d'en réchapper temporairement). Nous avons sans doute fait mieux que les Américains qui, en août 2000, ont pulvérisé des aérosols en telle quantité sur Los Angeles que le ciel a gardé une couleur rouge sang pendant deux jours (opération "Ciel rouge" ?), que les morgues ont tourné à plein rendement pendant une semaine et que des centai-nes de milliers de personnes se ressentent encore aujourd'hui de ces épandages.
Pour ceux qui douteraient de l'inspiration diabolique de telles opérations, qu'ils méditent sur la cynique proposition faite ensuite par notre Grand Communiquant du Poitou pour tenter de se faire pardonner : instituer, "pour nos vieux" (Aux larmes, citoyens !), une journée travaillée précisément le Lundi de Pentecôte. La tentative de désacralisation de cette fête chrétienne, qui symbolise la descente de l'Esprit Saint, de l'Amour Cosmique dans les consciences humaines suite à l'impulsion du Christ du Mystère de Pâques, est une attaque anti-christique frontale contre l'évolution spirituelle de l'homme (voir à ce sujet l'importance que Rudolf Steiner attribue à cette fête, par exemple dans le cycle de conférences sur "Le cinquième évangile"). Si des syndicats et des partis politiques se sont opposés à la proposition du gouverne-ment, pour des raisons non spirituelles, on peut s'interroger sur le fait que les instances ecclésiastiques n'aient pas mani-festé beaucoup d'indignation ; la Fille aînée de l'Eglise n'est plus ce qu'elle était. Pourtant l'atteinte portée à la fête de la Pentecôte n'est que la suite de la tentative anti-christique plus ancienne visant à imposer une date fixe à la fête mobile de Pâques.
Ainsi, ce n'est pas seulement dans le domaine des plantes que l'on peut s'entraîner à appliquer la "théorie des signa-tures"; Rudolf Steiner nous a d'ailleurs expressément invités à considérer les événements du monde comme les symp-tômes de l'action d'entités spirituelles suprasensibles, que ce soit pour le bien ou pour le mal. Vu que les forces du mal avancent souvent masquées sous la couverture d'un "bien" apparent, et que l'inverse peut être également vrai, comme le suggèrent le proverbe "Qui aime bien châtie bien" ou encore le déclenchement de maladies par les bonnes puissances pour nous extraire des griffes des mauvaises puissances, il convient d'avoir une double lecture, positive et négative, des mêmes événements pour affiner notre discernement.
En complément de cette symptomatologie politique et spirituelle, il y a des signes avant-coureurs encourageants de la volonté de certains écrivains et historiens non conventionnels de tordre le cou à la "fable convenue" qu'est en parti-culier l'histoire des 19ème et 20ème siècles savamment distillée dans nos manuels scolaires par les historiens de cour du Nouvel Ordre Mondial. On a déjà commencé à déboulonner quelques statues de "grands hommes" dont la légende a été fabriquée de toutes pièces et religieusement entretenue (par exemple Louis Pasteur ou Jean Monnet), et qui n'ont été souvent que des pions du gouvernement mondial occulte, sortes d'"idoles" chargées de canaliser la vénération des fou-les tout en la dévoyant ; inversement on a entrepris de faire connaître ou de réhabiliter des personnes plus bénéfiques à l'humanité, qui avaient été maintenues délibérément dans l'ombre ou dans l'oubli.

7.b - Le problème de la transfusion sanguine (commentaire du rédacteur)
Dans le domaine de l'attaque contre la santé humaine qui nous intéresse ici, nous prendrons l'exemple de René Quinton, qui a eu une renommée mondiale dans les 25 premières années du 20ème siècle, puis a étrangement disparu de notre souvenir national grâce aux "bons" offices de la nomenklatura française (voir le livre de Pierre Lance "Savants maudits, chercheurs exclus" cité dans la bibliographie). En plus de ses hypothèses novatrices sur la séquence d'appari-tion des espèces animales dans l'évolution en fonction de leur température interne et de sa contribution enthousiaste au lancement de l'aéronautique française, René Quinton avait eu le mérite de proposer des moyens thérapeutiques peu coû-teux à base de "transfusion d'eau de mer isotonique", c'est-à-dire ramenée à la concentration de sel du sang humain par mélange avec de l'eau de source. Ce "plasma de Quinton", qui ne cherche pas à tuer lui-même les "microbes" mais pro-cure à l'organisme les forces nécessaires pour combattre les infections, avait fait merveille contre diverses épidémies et pour les soins aux blessés lors de la grande boucherie de 1914-18 organisée par les Illuminati.
Les historiens devront un jour lever le voile sur les raisons occultes de l'abandon de ce remède simple mais efficace (Platon disait déjà : "l'eau de mer guérit tous les maux") au profit de procédures beaucoup plus complexes, coûteuses et risquées de collecte, de conservation et de transfusion du sang. Ils seront sans doute sur une bonne piste s'ils se rappel-lent, dans Faust, la fascination de Méphistophélès pour le sang de l'homme, expression et support de son Moi. D'un point de vue spirituel, le principe de la transfusion du sang est une atteinte à l'identité humaine du receveur et va à l'en-contre de l'individualisation du Moi qui est la marque de notre phase actuelle d'évolution. Les Témoins de Jéhovah met-tent d'ailleurs en avant cet argument pour justifier leur refus de la transfusion sanguine, d'autant plus que les cas ne sont pas rares où celle-ci entraîne une modification psychique du receveur. Dans la mesure où l'eau de mer isotonique est très efficace et neutre (car commune à toute l'humanité en tant que berceau de sa naissance au cours de l'évolution), on peut penser que la mise en place de cette lourde machinerie médicale de gestion du sang humain a surtout un but occulte de lutte contre le Christ, dispensateur du Moi humain, qui se manifeste dans le sang sur le plan physique.
Le scandale du sang contaminé et celui tout aussi odieux du jugement final de son interminable procès ne sont que les accidents qui permettent de révéler ou de confirmer les manipulations maléfiques dont le sang transfusé peut être l'objet, sans parler de la collusion mafieuse de plusieurs instances de l'Etat et du détournement possible du sang collecté à destination de rituels sataniques. Ce procès devra être réouvert un jour, mais cette fois avec l'accusation d'homicide volontaire, voire de crime contre l'humanité en temps de paix. On pourra aussi mettre au banc des accusés les experts bidon ainsi que les juges "couchés" distributeurs de non-lieu dans tous les scandales du même type. La magistrature "couchée" est une variante maligne qui peut affecter et infecter aussi bien la magistrature "debout" que la magistrature "assise"; c'est un mal d'une extrême gravité, car il détruit le dernier rempart légal contre l'injustice au sein de la société et fait naître chez les plaignants désabusés un sentiment de totale impuissance doublé d'une haine des autorités indignes de cette société.

7.c - Le problème des vaccins (commentaire du rédacteur)
La vaccination est aussi un procédé dont on peut dire qu'il est surtout un instrument efficace des forces du mal, et cela d'autant plus que, par une injection, on agit directement sur le sang humain en court-circuitant la barrière filtrante de la digestion. Plusieurs livres ont démontré l'imposture de cette légende de "bienfaiteur de l'humanité" qui a béatifié Louis Pasteur il y a plus d'un siècle (voir entre autres le livre du docteur Eric Ancelet "Pour en finir avec Pasteur" cité dans la bibliographie). C'est certes Pasteur qui, sur des bases frauduleuses, a initié le processus de l'industrialisation de cette pratique médicale à l'échelle planétaire, mais ses continuateurs sont tout aussi fautifs ; ils se sont bien gardés de dénoncer l'imposture et ils ont dû être singulièrement soutenus par les pions du gouvernement mondial occulte pour pouvoir faire durer et empirer cette forfaiture jusqu'à notre époque ("perseverare diabolicum est" !). Les pratiques cou-rantes en vigueur dans la nébuleuse vaccinaliste, telles que :
• les rapports faussés pour faire croire à l'influence des vaccins sur le recul des épidémies,
• le refus de reconnaître les victimes des vaccinations,
• le vote de l'obligation vaccinale par les gouvernements, dans des conditions plus ou moins frauduleuses,
• l'exclusion scolaire et autres harcèlements administratifs pénalisant les enfants non vaccinés et leurs parents,
• l'embrigadement des médecins et infirmières par les lobbies vaccinalistes pour en faire des "pelotons de vaccina-tion",
• les mensonges sur la dangerosité des épidémies afin d'effrayer la population,
• les campagnes éhontées du Ministre de la Santé, servilement relayées par le Ministère de l'Education, pour pro-mouvoir en 1994 le vaccin contre l'hépatite B tout en faisant croire qu'il était obligatoire,
• le transfert en 1995 de 1,7 milliard de francs des caisses de la Sécurité Sociale vers celles des laboratoires lors de la campagne de vaccination contre l'hépatite B,
[Ah, si seulement, "en vendant des produits qui guérissent le Sida comme la calvitie", la "nébuleuse an-throposophique" pouvait s'enrichir aussi vite que la nébuleuse vaccinaliste, que de fermes bio-dynamiques pourrions nous créer ou soutenir ! (les deux expressions entre guillemets sont des morceaux choisis du rapport officiel de Jacques Guyard "Les sectes et l'argent" de 1999, dirigé ignominieusement contre l'anthro-posophie, et ne semblent toujours pas démenties par Alain Vivien, qui, dans son livre "Les sectes" de 2003, a renouvelé les attaques grossières contre un Steiner "raciste" et des enfants d'anthroposophes "non vac-cinés", se moquant impunément des conclusions du procès en diffamation intenté contre Jacques Guyard)]
• les propagandes pour les vaccins anti-grippe (liés aux épandages aériens ?),
• celles plus sournoises des pédiatres pour culpabiliser les mères face à l'arrivée de méchants pneumocoques (eux aussi convoyés par les épandages aériens ?),
• les vaccinations à l'aveuglette sans examen préalable des conditions de "terrain" de chaque cobaye,
• les pressions inquisitoriales du Conseil de l'Ordre des Médecins (créé sous le gouvernement de Vichy) exercées sur les médecins "déviants" qui osent ne pas jouer le jeu de la pensée vaccinaliste unique, et qui sont donc sans aucun doute "membres de sectes",
toutes ces pratiques sont autant de procédés mensongers, malhonnêtes et totalitaires directement inspirés par les forces du mal.

Il n'y a qu'à voir avec quel acharnement les instances sanitaires cherchent à vacciner les jeunes enfants dès leur naissance, afin de leur injecter un ensemble de poisons alors que leur système immunitaire n'est pas encore formé, pour être conduit à suspecter le caractère diabolique de l'opération. Non seulement on provoque ainsi des accidents post-vaccinaux plus ou moins graves, à plus ou moins brève échéance, mais on empêche également les enfants d'affronter correctement les maladies infantiles karmiques qui doivent leur servir d'obstacles à franchir pour renforcer leur constitu-tion.
D'autre part, avec la venue au monde d'un nombre toujours plus grand d'enfants "étoiles" (on dit aussi enfants "in-digo" d'après la couleur de leur aura), qui se caractérisent par une forte personnalité affirmée très tôt, un lien plus étroit avec le monde spirituel et une sainte horreur du mensonge (qu'ils détectent jusque dans les pensées), nous sommes sans doute parvenus à l'époque dont parle Rudolf Steiner, où des vaccins seront utilisés pour annihiler les aspirations spiri-tuelles des enfants. Des médicaments complémentaires comme le Ritalin servent déjà de camisole chimique pour les hyperactifs les plus réfractaires au monde matérialiste qu'on leur propose.

En outre il faut être bien conscient de ce paradoxe diabolique qui veut que les vaccins ne soient pas considérés comme des médicaments ! Ainsi ils ne sont pas soumis aux longs tests d'innocuité que doivent subir les médicaments avant d'obtenir une autorisation de mise sur le marché. Les vaccins sont inoffensifs par définition, donc non justiciables du principe de précaution ! Personne, à part les laboratoires fabricants-vendeurs, ne sait d'ailleurs au juste ce qu'il y a dedans, ce qui facilite d'autant la petite cuisine du diable. Les instances sanitaires publiques sont priées d'afficher une confiance aveugle dans ces laboratoires ! Ceux-ci n'ont qu'une légère obligation de suivi de l'action du vaccin pendant quelques jours (une semaine au plus ?) ; passé ce délai, quand ce n'est pas avant, ils manifesteront la mauvaise foi la plus criante pour démentir toute corrélation entre un accident post-vaccinal et la vaccination. Il faut dire que c'est aussi avec la plus mauvaise volonté possible que les instances sanitaires réalisent des enquêtes statistiques sur les ac-cidents post-vaccinaux, par exemple en n'obligeant pas les médecins à rapporter ces conséquences néfastes alors qu'elles les obligent par ailleurs à manier la seringue. Il est conseillé de lire quelques-uns des livres qui relatent la détresse des familles qui se retrouvent avec un enfant handicapé à vie suite à une vaccination imposée et qui n'obtiennent aucun dédommagement (les procès intentés ayant peu de chance de leur "rendre justice"), pour se rendre compte de la cruauté démoniaque de ce système étatique totalitaire. C'est là que l'on ressent à fond la notion d'"Etat criminel", instrumentalisé en raison de son pouvoir législatif coercitif (ici l'obligation vaccinale) et de l'impunité qu'il peut garantir en toute immoralité aux laboratoires (par la collusion de ceux-ci avec des politiciens, administratifs et juges complices).

Les vaccins contre l'hépatite B, qui ont été l'objet de toutes les attentions du "bon" docteur Douste-Blazy en France et plus généralement de l'OMS au plan mondial, commencent à avoir une réputation quelque peu douteuse. Ils ont d'abord laissé une épidémie de Sida dans le sillage des premières campagnes de vaccination dans la population homo-sexuelle et dans différents pays africains. Certains de ces vaccins, car il faut les différencier en fonction des officines qui les fabriquent, ont aussi pour particularité d'être parmi les premiers à inclure des adjuvants à base d'aluminium, respon-sables de la myofasciite à macrophages qui peut apparaître comme accident post-vaccinal.
D'autre part, selon le livre de Sylvie Simon "Le vaccin anti-hépatite B en accusation" cité dans la bibliographie, l'étrange slogan publicitaire suivant a été diffusé en 1988 dans les revues médicales pour la promotion du vaccin Engérix de SmithKline Gerench (Suisse) : "Toute bombe à retardement ne ressemble pas à celle-ci". Le moins que l'on puisse dire est que ce message est plutôt énigmatique et incite à la réflexion. On doit sans doute envisager deux types de desti-nataires. Si le message est à destination du lecteur ordinaire, celui-ci peut penser que le virus de l'hépatite B sera éradiqué un jour, à une date non définie (dans 20 ans ?) ; cependant, ceux qui ont été victimes d'accidents post-vaccinaux pour-ront estimer que la bombe leur était destinée plutôt qu'au virus, ce qui n'est pas très promotionnel. Si par contre le mes-sage est destiné à des membres du gouvernement mondial occulte (car les médias standard peuvent servir subreptice-ment de support à leurs communications), il faut peut-être oser une interprétation un peu plus diabolique, qui tient compte des informations suivantes fournies par Marc Filterman dans son livre "Les armes de l'ombre", cité dans la bi-bliographie.
On doit d'abord s'initier à la notion importante d'"arme binaire", c'est-à-dire une arme faite de deux composants qui pris isolément sont (relativement) inoffensifs mais dont la réunion déclenche un effet destructeur. Marc Filterman parle ensuite de l'action des micro-ondes pulsées capables de provoquer sur le vivant des réactions chimiques et des muta-tions de virus et de bactéries. Lors de la guerre du Golfe de 1991, les soldats occidentaux ont été préalablement soumis à des médicaments préventifs (dont le dangereux bromure de pyridostigmine en cours de test) et à des vaccins multiples au contenu gardé secret (dont un vaccin expérimental contre le botulium et un autre controversé contre l'anthrax), puis ils ont été exposés au cours des opérations à d'intenses rayonnements d'ondes électromagnétiques, dont les micro-ondes de très forte puissance des radars (voir la section 8) ; l'hypothèse émise par Marc Filterman est que ce serait l'action de ces ondes sur les produits des médicaments et des vaccins qui, couplée avec l'affaiblissement du système immunitaire dû au stress intense des combats, aurait provoqué les maladies dégénératives des soldats et les malformations chez leurs descendants, ce que l'on a appelé le syndrome de la guerre du Golfe (on doit bien entendu tenir compte également de l'inhalation ou de l'ingestion de l'uranium appauvri qu'ont abondamment disséminé les gentils organisateurs de cette "guerre propre" de l'Axe du Bien par le biais des nouveaux obus perforants, laissant en souvenir à la population ira-kienne des champs de bataille radioactifs, terrains de jeux idéaux pour les enfants).
Munis de ces nouvelles et peu réjouissantes connaissances, nous pouvons revenir au vaccin de l'hépatite B et émet-tre l'hypothèse qu'il pourrait bien être le premier composant d'une arme binaire, le deuxième composant étant un rayonnement de micro-ondes pulsées qui serait déclenché à une date fixée par le gouvernement occulte, sur des popula-tions ciblées ; le vaccin constituerait donc à juste titre "une bombe à retardement d'un genre nouveau" et son slogan publicitaire signalerait simplement le début de la mise en place du premier composant de l'arme binaire ! Les accidents post-vaccinaux seraient alors des "ratés" gênants de par leur effet dissuasif, pouvant freiner le programme mondial de vaccination avant la date prévue de mise en œuvre du deuxième composant de l'arme binaire.
Comme indices à charge supplémentaires, on peut mettre en avant l'acharnement suspect des instances officielles à vouloir imposer ce vaccin alors qu'aucune menace sérieuse d'épidémie n'existe, et aussi le fait que la présence assez nouvelle de l'aluminium comme adjuvant des vaccins puisse avoir les mêmes fonctions que celles des sels d'aluminium contenus dans les traînées chimiques aériennes, c'est-à-dire faciliter la propagation des ondes électromagnétiques, dans ce cas-là les attirer dans le corps, et favoriser, en attendant l'heure H, la dégénérescence du cerveau. Rappelons-nous en outre que les victimes occidentales du syndrome de la guerre du Golfe luttent depuis près de 15 ans pour faire reconnaî-tre par leurs armées respectives le lien entre leurs maladies et leur engagement sur la scène du conflit, ce qui n'est pas sans rappeler le refus obstiné des laboratoires de vaccins d'admettre les accidents post-vaccinaux. On notera à ce propos qu'à la fin de la guerre du Golfe, les instances médicales militaires des Etats Unis (et peut-être aussi celles des autres pays occidentaux) ont reçu l'ordre de détruire les carnets de santé des soldats où étaient enregistrées les prises de médica-ments et les vaccinations ! (voir le livre "Uranium appauvri. La guerre invisible" de Martin Meissonnier et autres auteurs, sur la cruauté dont savent faire preuve les hauts dirigeants des armées vis-à-vis de leurs propres troupes. Mentionnons en passant que Henry Kissinger tenait les militaires pour des abrutis jetables).
De plus, suite au déclassement de certains documents (grâce au "Freedom Of Information Act", la loi sur l'accès plus rapide aux archives secrètes de l'Administration, et dont on n'est pas près d'avoir l'équivalent en France), il a été confirmé que les différentes armées n'ont jamais hésité, depuis des décennies, à tester les produits de la guerre biologique sur les populations civiles et sur leurs propres soldats, bien entendu à leur insu (voir à ce sujet le livre "L'Etat voyou" de Wil-liam Blum). Ces soldats ont certainement servi de cobayes pendant la guerre du Golfe pour valider en vraie grandeur l'action des micro-ondes sur les produits vaccinaux, tout ceci dans la confusion de ces "tirs amis" qui ne semblent pas avoir soulevé beaucoup d'indignation et qui sont allés se fondre dans l'insignifiance des "dommages collatéraux".
Comment les hauts dirigeants des gouvernements et des armées peuvent-ils être aussi inhumains avec leurs pro-pres peuples, demanderez-vous ? C'est peut-être parce que précisément ils ne sont pas, ou ne sont plus, des êtres hu-mains (voir la troisième partie).
Mais il n'y a pas lieu de se focaliser uniquement sur les militaires. Au Canada, le journaliste québécois Serge Monast a dénoncé, il y a déjà quelques années, une campagne sauvage de vaccination des enfants contre la méningite, où il a constaté que de "braves" infirmières utilisaient des seringues spéciales sur lesquelles il fallait exercer une pression assez particulière ; en fait on profitait de la vaccination pour inoculer un implant (une puce électronique) aux enfants, comme cela peut se faire avec des animaux. Ces implants permettent de suivre l'individu à la trace, et surtout d'interférer par ondes électromagnétiques avec sa santé ou ses émotions ou sa pensée. Depuis, avec les techniques du "nano-monde" (le millième de micron), on peut utiliser des cristaux liquides programmables (des polymères) comme adjuvant des vaccins, et il n'est plus besoin de recourir à une seringue spéciale.

Pour compléter le tableau, référons nous à Leonard Horowitz qui, dans son livre non encore traduit « Death in the air : globalism, terrorism and toxic warfare » publié 3 mois avant les attentats du 11 septembre 2001, a indiqué un code numé-rologique souvent utilisé par certaines branches des Illuminati : il s’agit du code basé sur le 6, où chaque lettre de l’alphabet se voit attribuer la valeur 6 multipliée par son rang dans l’alphabet (A=6, B=12, C=18, etc). Si l’on additionne les valeurs des lettres d’un mot selon ce code, le mot « vaccination » prend la valeur 666, le nombre de la Bête. Il partage cette funeste propriété avec le mot « Kissinger » ; il faut savoir que le Henry du même nom (qui n’est pas son nom de naissance) a milité activement auprès des laboratoires pharmaceutiques Merck pour qu’ils mettent au point des virus immunosuppresseurs simulant les virus HIV et Ebola, en vue de réduire la population noire africaine sous prétexte de vaccination bienfaitrice. Ce grand humaniste est sans conteste un pion de valeur pour les Illuminati, car peu de criminels de guerre, ayant comme lui à leur actif des millions de morts sur tous les continents, peuvent se prévaloir d’avoir reçu un prix Nobel de la Paix pour de tels services rendus.
A ceux qui, pourvus de toutes ces informations, se sentiraient toujours des inconditionnels de la vaccination obliga-toire, nous conseillerions bien d'essayer un vaccin anti-contrôle de la pensée, mais il est peu probable que les laboratoi-res traditionnels aient cet article en rayon.

8 - Troisième "projet noir" : le contrôle total de l'espace des télécommunications
Les militaires états-uniens (et leurs homologues des autres pays) veulent mener les guerres locales modernes en étant dans les mêmes conditions "virtuelles" que lorsqu'ils sont assis devant une console de jeux vidéo. A cette fin, les radars doivent pouvoir balayer sans entrave le champ de bataille, à partir du sol ou d'avions de surveillance (de type AWACS) ou de satellites, et recueillir toutes les données permettant de reconstituer en temps réel sur écran les élé-ments clés du combat. Des épandages aériens de sels de baryum sont alors effectués au préalable sur la zone du conflit de façon que l'air puisse avoir une conductivité optimum pour le transport des ondes électromagnétiques. Ainsi on a pu voir des traînées chimiques dans le ciel lors des guerres d'Irak, de Yougoslavie, d'Afghanistan.
La bonne conductivité de l'air n'est pas seulement nécessaire pour la récolte d'information par radar mais aussi pour assurer le bon fonctionnement des armes électromagnétiques, létales ou non, qui s'appuient, comme les radars, sur des ondes de hautes fréquences modulées ou pulsées. Leurs buts peuvent être de détruire l'électronique des appareils de l'adversaire, de tuer les combattants ennemis, de les affaiblir physiquement ou de les conditionner psychiquement (il existe toute une panoplie de ces jouets militaires, entre le "rayon de la mort", déjà proposé par Nikola Tesla au début du 20ème siècle, et l'"arme psychotronique").

Pour les guerres à distance ou dans l'espace (voir la "Guerre des Etoiles" déclarée à tout oiseau, ballon, avion, mis-sile, vaisseau spatial, OVNI, satellite…), les radars et les armes électromagnétiques doivent être "trans-horizon". Dans ce cas on s'arrange pour faire circuler les ondes électromagnétiques autour de la terre par réflexions successives sur des miroirs ionosphériques (créés par les réchauffeurs de type HAARP) et des miroirs près du sol (créés par des traînées chimiques aériennes).
Les techniques du projet HAARP permettent aussi de communiquer à grande distance avec les sous-marins en plon-gée, et même de recharger leurs batteries en faisant voyager l'énergie électrique "sans fil", selon un autre procédé inventé par Tesla.

9. - Quatrième "projet noir" : le contrôle des émotions et des pensées humaines
La Terre est un être vivant, comme tous les hommes, animaux, végétaux, qui lui sont indissolublement liés. De façon naturelle, la Terre génère des ondes électromagnétiques :
• dans l'atmosphère ; ces ondes, appelées de façon globale "résonance de Schumann", sont dues aux éclairs qui se déclenchent régulièrement entre l'ionosphère et le sol à la surface de la planète ; elles ont une très basse fréquence moyenne tournant autour de 7,8 Hz,
• dans le sol ; ce sont les ondes géomagnétiques, également de basse fréquence ; les différents minéraux de l'écorce terrestre modulent ces ondes telluriques.
Les biorythmes sur la planète, donc ceux de l'homme en particulier, dépendent du bon équilibre entre ces ondes at-mosphériques et ces ondes telluriques.
Or certaines techniques HAARP ressemblent à un effet transistor, mais à l'échelle planétaire : le faisceau émis par HAARP peut servir de télécommande pour doser la quantité d'énergie soustraite à l'ionosphère et propulsée au sol. Cette énergie s'ajoute aux éclairs naturels et perturbe la résonance de Schumann de l'atmosphère.
De même les tours GWEN et les antennes émettrices/relais perturbent les ondes telluriques en raison des énergies qu'elles émettent à travers le sol.

L'homme en tant qu'être vivant est lui aussi le siège de phénomènes électromagnétiques (selon Viktor Schauberger, il faudrait différencier le ferro-électromagnétisme et le bio-électromagnétisme, mais nos appareils de mesure actuels sont apparemment sensibles aux deux sans être capables de les distinguer).
Depuis les années 1950 on s'est intéressé aux différentes ondes électromagnétiques de très basses fréquences émi-ses par le cerveau d'une personne en fonction des activités mentales auxquelles elle se livre :
• ondes delta (0,5 à 3 Hz) pour le sommeil profond,
• ondes thêta (4 à 7 Hz) pour les images mentales, le rêve éveillé, la concentration mentale interne,
• ondes alpha (8 à 12 Hz) pour un état de relaxation, où on se concentre bien et apprend facilement ; on se sent particulièrement bien lorsqu'on est en accord avec le fréquence de la résonance Schumann de la terre ; la fré-quence de 10 Hz correspondrait à un état hypnotique,
• ondes bêta (13 à35 Hz) pour les activités familières tournées vers l'extérieur, la fréquence augmentant avec l'agi-tation et le stress.
Ces découvertes sont associées aux électroencéphalogrammes, qui enregistrent les profils d'ondes, et aux techni-ques de "bio-feedback" qui permettent à un individu d'exercer et d'améliorer lui-même certaines de ses capacités psychi-ques.
On s'est aperçu également que l'on pouvait forcer artificiellement le cerveau à émettre dans une bande de fré-quences donnée en dirigeant sur lui le signal d'un générateur électromagnétique externe ; on a d'abord procédé en branchant directement des électrodes sur le cerveau, puis on s'est affranchi de celles-ci en transportant le signal sur une fréquence "porteuse" comme en radiophonie. Normalement ce sont nos corps subtils (éthérique, astral, etc.) qui sont porteurs de notre état de conscience, de nos émotions et de nos sentiments et qui, en fonction de ceux-ci, les "matériali-sent" en quelque sorte dans le corps physique sous forme de transformations chimiques et d'ondes cérébrales. Les expé-riences précédentes montrent que le chemin inverse est possible et qu'en obligeant le cerveau physique à se syntoniser sur telle ou telle fréquence, on crée les états psychiques correspondants dans les corps subtils. En fait ces correspon-dances ne sont pas simples ; pour obtenir un effet donné, on doit associer des combinaisons précises de fréquences, de formes d'onde, de niveaux de puissance. C'est surtout en enregistrant les profils des électroencéphalogrammes lors de tel ou tel état psychique que l'on sait quel signal "rejouer" pour recréer cet état par une onde électromagnétique exté-rieure. Notons que les niveaux de puissance mis en œuvre pour télécommander les ondes cérébrales sont très faibles.

Bien entendu les services secrets, âmes damnées des gouvernements, et les militaires (surtout russes et états-uniens) se sont emparés de toutes ces connaissances et ont mis au point des armes dites "non létales" permettant de contrôler les états de conscience et les émotions des opposants. Ces armes électromagnétiques se sont perfectionnées au fil du temps, offrant la possibilité de faire entendre des voies, d'imposer des pensées, de déclencher des maladies, en en-voyant les profils électromagnétiques qui leur correspondent ; tout ceci à distance, en transportant le spectre basse fréquence sur une onde porteuse de haute fréquence, la valeur de celle-ci n'étant d'ailleurs pas indifférente : ainsi les fréquences 400-450 MHz seraient la fenêtre de la conscience humaine et de notre réalité spatiale et temporelle, celle de 1100 Mhz serait la fréquence de résonance de l'ADN. Au début il fallait un implant relais dans la personne visée (implant dentaire, cristaux liquides d'un vaccin, etc.), maintenant on peut s'en passer, surtout si l'arme n'est pas utilisée de façon sélective. D'ailleurs, l'ADN d'un individu ayant une signature électromagnétique unique, nul doute qu'il pourra servir à le repérer à distance dans une foule (si ce n'est déjà fait).
Comme en témoigne le document officiel "La révolution dans les affaires militaires", toute une stratégie de "communi-cation" (alias "propagande") a été mise en œuvre aux Etats-Unis pour faire progressivement accepter par l'opinion publique le principe de ces armes non létales, qui portent atteinte au libre arbitre de la personne humaine. Les militai-res états-uniens ont accepté sans grand scrupule d'abaisser de quelques crans le "seuil de l'éthique" de leur "code d'honneur", les "élus du peuple" n'ont pas rechigné à faire une entorse de plus aux amendements de leur Constitution qui protégeaient la liberté de pensée et la libre expression, et, comme les conventions internationales étaient hostiles à ce type d'arme, le Ministère de la justice (que l'on dit le plus pourri de la planète) est venu au secours du Ministère de la Défense pour indiquer que leur utilisation serait limitée à la lutte contre l'ennemi intérieur (le concept de "terroriste" était déjà dans l'air, prêt à être "mondialisé" après les attentats du 11 septembre 2001).

Au delà des premières escarmouches dans les années 1960-1970 entre Russes et Américains (au nombre desquelles figure l'exposition de l'ambassade des Etats-Unis à Moscou à un rayonnement de micro-ondes maléfique), les armes psy-chotroniques ont été employées dans des guerres récentes comme celles d'Irak, d'Afghanistan, de Yougoslavie, du Rwanda, et, en temps de paix, à l'intérieur des pays occidentaux dits "démocratiques" pour calmer ou exalter ou exciter des foules à l'occasion de grands rassemblements consensuels ou de manifestations plus ou moins hostiles au pouvoir (ce fut le cas par exemple pour la grand'messe des jeunes chrétiens lors de la visite du pape à Toronto, ou pour le condi-tionnement de la foule new-yorkaise après les attentats du 11 septembre 2001).
Depuis les techniques de "contrôle de l'esprit" de la première moitié du 20ème siècle répertoriées par Serge Tchakho-tine dans son livre "Le viol des foules par la propagande politique", beaucoup de progrès ont été faits dans ce domaine. Il paraît que nous sommes arrosés en permanence, à partir de ballons ou de satellites, de messages envoyés par des ar-mes psychotroniques de contrôle de la pensée, comme par exemple le nom d'une marque publicitaire ou d'un candidat aux élections. Cela permet d'atteindre les quelques récalcitrants qui n'ont pas la télévision et qui se soustraient ainsi à ses messages répétitifs ostentatoires ou subliminaux. Grâce à ces techniques évoluées de conditionnement et aux urnes élec-troniques aisément falsifiables, les politiciens véreux ne peuvent que se féliciter du passage au "tout numérique".

Le projet HAARP inclut cette facette du contrôle des émotions, des pensées, des comportements, mais cette fois à l'échelle planétaire. Dans sa gamme étendue de fréquences, de puissances et de formes d'ondes, on trouve tout ce qu'il faut, en particulier les signaux de modulation de très basses fréquences et de très faibles puissances. Toutefois, depuis 2001, c’est l’énorme réseau des tours d’antennes émettrices et relais qui, sous le couvert du déploiement des télépho-nes portables, se voit confier un rôle essentiel dans le contrôle mental, émotionnel et même physique des populations locales, en plus du contrôle du climat.
Inutile de dire que cette fonction globale ou sélective de contrôle de l'esprit est de la première importance pour la mise en place de la dictature du Nouvel Ordre Mondial.

10. - Commentaire récapitulatif sur les multiples aspects des projets HAARP
Les projets de type HAARP s'appuient beaucoup sur les travaux de Nikola Tesla, qui, entre la fin du 19ème siècle et le début du 20ème siècle, a déposé des dizaines de brevets relatifs à l'électromagnétisme et à l'énergie libre (celle de l'éther) ; bon nombre d'entre eux sont à l'origine de la plupart des techniques électriques que nous employons encore aujourd'hui. Cet inventeur étonnamment prolifique, mais qui ne s'intéressait pas vraiment à l'écologie, était, d'après ses écrits, tout à fait conscient des usages positifs ou négatifs que l'humanité pourrait faire de ses inventions, en particulier de celles qui mettaient en œuvre des forces naturelles à l'échelle de la planète. Pour le moment, ce sont surtout les servi-ces secrets et les militaires russes et états-uniens qui s'en sont inspirés pour en développer le potentiel négatif, en met-tant à profit les progrès impressionnants de l'électronique de la deuxième moitié du 20ème siècle.
Si la "fée électricité" a bien caché son jeu avant que l'on s'aperçoive de son côté "sorcière", on ne s'étonnera pas que le projet HAARP qui lui est lié ne soit pas en reste en matière de dissimulation. Il a commencé avec un nom plaisant et un objectif de type "recherche fondamentale" : "bombarder l'atmosphère avec des micro-ondes modulées pour procéder à des mesures scientifiques sur le mouvement des particules de vent solaire dans la magnétosphère de la terre". Si le terme de harpe fait penser initialement à des ondes sonores créatrices (le "Verbe"), le libellé du projet nous ramène assez vite à une harpe d'ondes électromagnétiques plutôt destructrices.
Le fait que l'Armée de l'Air et la Marine états-uniennes dirigent le projet conforte cette impression que le mot HAARP n'est qu'un joli paravent et que ce qu'il cache n'a pas du tout pour but une évolution harmonieuse et pacifique de l'humanité. La carence des études d'impact biologique et environnemental qu'on a reprochée au projet s'explique d'ail-leurs tout à fait dans la mesure où son but véritable est la destruction à tous niveaux et non la préservation. Listons ci-après quelques-uns des objectifs réels qui sont assignés au projet, tels qu'ils sont répertoriés entre autres dans le livre "Les Anges ne jouent pas de cette HAARP", cité dans la bibliographie.
• avoir la maîtrise exclusive de l'espace des télécommunications de la planète,
• remplacer les techniques existantes de communication avec les sous-marins,
• détruire les communications radio et les équipements des vaisseaux spatiaux, fusées, missiles, avions de l'enne-mi, en épargnant bien sûr ses propres appareils,
• provoquer des accidents dans les réseaux électriques terrestres, les oléoducs et gazoducs,
• provoquer des trous dans la couche d'ozone au dessus de l'ennemi pour le faire griller (en remplacement des ex-plosions nucléaires dans l'atmosphère),
• faire la tomographie de la couche terrestre sur de vastes étendues, entre autres pour localiser des gisements de minerais, pétrole, gaz,
• mener une guerre économique ou politique via une guerre climatique de l'ombre, en créant artificiellement des inondations, des sécheresses, un froid sibérien, des ouragans, et en provoquant des tremblements de terre ciblés (pendant la guerre froide, les Russes pratiquaient sur leur propre sol des explosions nucléaires souterraines des-tinées à déclencher quelques jours plus tard des séismes à des milliers de km de distance, en principe chez l'en-nemi, mais en l'absence de connaissances assez précises sur la propagation des ondes dans la croûte terrestre, la probabilité d'atteindre la cible visée était insuffisante),
• réduire la population du monde en déclenchant des maladies sur des groupes humains ciblés,
• contrôler l'esprit des humains à l'échelle de la planète (le rêve des Illuminati).

D'un point de vue stratégique et économique, le projet HAARP vise à dominer toute la planète à partir du sol des Etats-Unis, en limitant le plus possible le nombre de bases militaires états-uniennes installées dans les autres pays du globe, et à unifier toutes les techniques guerrières grâce à un seul outil généraliste, en remplacement de techniques antérieures obsolètes ou trop coûteuses.

11. - Symptômes et coïncidences
Dans un article de la revue TOP SECRET n°7 (mai 2003), Mickaël Golan fait remarquer que le mot "harpe" apparaît 46 fois dans l'Ancien Testament, 7 fois dans le Nouveau Testament, dont 5 fois dans l'Apocalypse.
Il fait également état d'un certain nombre de "coïncidences" où le système HAARP aurait bien déjà pu servir d'arme de destruction massive dans la gestion de conflits politiques latents entre les Etats-Unis et d'autres pays qui, sans être encore sur la liste des "Etats voyous", auraient de la peine à marcher au pas imposé par l'Empire. Ainsi, pour la France, les deux tempêtes de Noël 1999 seraient une mesure de rétorsion climatique suite à l'opposition française aux OGM et au traité de l'AMI, ce qui expliquerait l'espèce de capitulation ultérieure de Lionel Jospin sur ce sujet des OGM et de la mondialisation. Il y a des doutes également sur les circonstances réelles du naufrage du pétrolier ERIKA le 12 décembre de la même année, qui pourrait avoir servi de première sommation, prenant la forme plus discrète d'une pollu-tion devenue conventionnelle ; M.Golan s'intéresse en effet au nom du pétrolier impliqué : en le faisant précéder de "I AM", on obtient une formule d'identification "I AM ERIKA" (je suis Erika) qui se prononce comme "I, AMERICA" (moi, l'Amérique), ce qui pourrait être interprété comme une signature. Cet apparentement terrible paraît se confirmer avec le nom du cyclone tropical ERIKA qui a dévasté la Nouvelle Calédonie le 14 mars 2003, c'est à dire le jour même pro-posé par Dominique de Villepin pour la tenue d'une réunion du Conseil de sécurité de l'ONU en vue d'évaluer la situation concernant l'Irak, ce qui était certainement considéré comme un affront par les Etats-Unis. Il semble donc que le Diable de l'Axe du Bien ait pris l'habitude de signer ses œuvres, soit par bravade, soit parce que son contrat avec des autorités supérieures des mondes suprasensibles lui impose de laisser aux hommes quelques indices de son existence réelle.

Comme HAARP sait aussi provoquer des cataclysmes sismiques, M.Golan se demande si le tremblement de terre ressenti en France et en Allemagne le 22 février 2003 n'avait pas pour but de sermonner les deux pays principaux qui s'opposaient à l'invasion de l'Irak, et si celui qui a frappé la Chine tout de suite après une visite infructueuse de Colin Powell ne traduisait pas la mauvaise humeur dévastatrice des faucons des Etats-Unis.
On peut aussi se poser des questions sur le tremblement de terre de fin 2003 en Iran, sachant que ce pays est une des bêtes noires du gouvernement états-unien dans cette zone pétrolière (c'est d'ailleurs sur la pointe des pieds que l'équipe de secours états-unienne est venue sur les lieux du drame, peut-être pour en constater de visu les effets). Cer-tains auteurs sur Internet (par exemple Joe Vials) se sont interrogés également sur l’éventuelle intervention de l’homme dans le déclenchement du tsunami indonésien de fin 2004, des projets comme celui baptisé « Seal » (phoque) ayant déjà eu pour objectif de provoquer des raz de marée par des bombes sous-marines ou autres techniques. De son côté, Mat-thew Ward, le fils défunt qui communique avec sa mère, indique que ces deux catastrophes, ainsi que celle du Pakistan, sont naturelles, la Terre ayant besoin de se délivrer de la négativité humaine accumulée au cours des millénaires dans certains points du globe. De ce point de vue, si ces éruptions sont absolument nécessaires à la survie de la Terre, il im-porte assez peu qu’elles soient déclenchées par des entités suprasensibles ou par leurs « sous-traitants » humains. Mat-thew Ward indique également que les morts et les survivants endeuillés de ces grandes catastrophes ont accepté ces conditions dans leur « contrat d’âme » avant de s’incarner, et que, d’un autre côté, les vibrants élans de solidarité mon-diale qui se manifestent pour les secours aux victimes apportent aussi une grande dose de positivité compensatrice.
Ce qui est assez remarquable, c’est la similitude des dates dans l’année (le 26 décembre, lendemain de la fête de Noël) entre les tempêtes en France (1999), le tremblement de terre en Iran (2003) et le tsunami en Asie (2004).

Les cyclones qui se sont produits en 2005 en Amérique Centrale (Katrina, Rita, Wilma, etc) ont eu des caractéristi-ques anormales, en amplitude, trajectoire, rapidité d’évolution dans un sens comme dans un autre. Sans doute nécessai-res à la santé de la Terre pour expulser la négativité des actions humaines, ils ont été cette fois manipulés par les systè-mes HAARP dans le but d’infliger de plus grands dégâts humains sur les côtes, mais il y a eu en contrepartie (selon Mat-thew Ward) des interventions d’aliénigènes bienveillants qui peuvent, par des techniques élaborées, amoindrir les effets destructeurs des catastrophes naturelles. Ce n’est pas vraiment le cyclone Katrina qui a détruit La Nouvelle Orléans, car il a étrangement bifurqué et faibli au moment de toucher la côte, mais le dynamitage des digues par la FEMA et l’obstruction diabolique qu’elle a faite à toutes les offres de secours (la destruction de la partie habitée par les Noirs était un projet démoniaque des Illuminati, comme les attentats du 11 septembre 2001). Dans le cas de Rita et de Wilma, il y a eu aussi une action consciente de la part des humains pour éviter leurs effets catastrophiques ; le site www.educate-yourself.org avait invité le plus de monde possible à détourner ou calmer ces cyclones par des techniques menta-les (prière, visualisation, utilisation d’outils éthériques), les formes-pensées positives ainsi générées étant relayées par les entités suprasensibles en mesure d’agir directement sur les éléments.

Face à la multiplication des antennes de toute nature que l’on peut constater dans notre environnement proche (et pas seulement dans un lointain Alaska !), on doit se souvenir qu’au début du 20ème siècle Rudolf Steiner avait anticipé la pollution électromagnétique dans laquelle baignerait l'humanité et qu’il avait incité à créer des textiles à partir de la tourbe, qui est un isolant contre les rayonnements (on utilise d'ailleurs la tourbe pour y stocker temporairement les pré-parats bio-dynamiques afin qu'ils ne rayonnent pas avant leur utilisation dans le compost ou dans les liquides à dynami-ser et pulvériser).
Va-t-on bientôt devoir évoluer dans des bures de fibres de tourbe avec capuche rabattue, rappelant les moines (ou les adeptes du Ku-klux-klan) ? Les nostalgiques partisans de l'uniforme et de la non-mixité à l'école pourront se réjouir, mais attention, on ne sera pas sûr de pouvoir contrôler efficacement la stricte séparation entre garçons et filles, et les jeunes filles islamistes risquent de garder leur voile sous le capuchon de la bure (une burka peut en cacher une autre) et d'enfreindre ainsi en catimini notre belle loi républicaine exemplaire sur la laïcité, qui conforte tant notre exception fran-çaise aux yeux du monde entier, quitte à raviver quelques conflits religieux au titre des dommages collatéraux et à ériger le laïcisme au statut d'athéisme ostentatoire et obligatoire.

(fin de la première partie)